Le racisme anti-blanc passe sous le scope des médias mainstream. Mais il semble progresser de façon inquiétante, notamment dans les universités françaises. Un article de Marianne illustre le poids désormais massif des groupes “racialisés”, y compris dans les institutions les plus prestigieuses.
Marianne illustre cette semaine avec un beau reportage la pénétration grandissante des théories raciales anti-blancs dans les universités françaises. L’enquête porte notamment sur l’EHESS (École des Hautes Études en Sciences Sociales) où les groupes racialisés organisent ouvertement des travaux collectifs avec le concours de l’institution, qui prête des locaux et semble à l’aise avec cette démarche “sociologique” nouvelle.
Plus généralement, Marianne souligne l’étendue du phénomène dans la sociologie française. L’idée par exemple que la laïcité ou le féminisme soient des concepts racialisés qui permettent d’asseoir la domination blanche triomphe largement dans cette école dogmatique où l’enjeu est de promouvoir la cause des peuples opprimés.