La politique vaccinale menée actuellement en Europe prend petit à petit des allures totalitaires. Validé par le gouvernement Mario Draghi le 16 septembre dernier, le pass sanitaire est désormais obligatoire en Italie pour l’ensemble des travailleurs œuvrant dans le secteur public et privé. Ce projet de loi sera effectif dès le 15 octobre prochain. Sauf pour les parlementaires.
Les travailleurs dans le collimateur
Le Green Pass a déjà été instauré en Italie depuis un bout de temps dans les établissements, sanitaires, sociaux et scolaires. Pour rappel, son déploiement s’arrête normalement au 31 décembre, date qui annonce la fin de l’état d’urgence sanitaire. Mais comme en France, où le gouvernement parle déjà de prolonger le pass sanitaire, le gouvernement italien devient de plus en plus “enfermiste”. A partir du 15 octobre, selon les médias italiens, l’absence d’un Green Pass valide pourra être punie d’une amende de 400 à 1 000 euros d’amende.
En effet, dans le cas où un salarié s’absente pendant plus de 5 jours parce qu’il n’a pas de pass, « la relation de travail sera suspendue de même que le salaire ». Au niveau de la gestion, le gouvernement Draghi a pris soin de décalquer le schéma grec qui impose aux salariés la vaccination, faute de quoi, ces derniers devront procéder à des tests toutes les semaines ou tous les trois jours. Et comme on pouvait s’y attendre, les tests ne seront pas pris en charge par l’État.
Système de contrôle rigoureux
Pour mettre la pression sur les salariés, un contrôle rigoureux sera effectué par les entreprises. Au niveau du personnel de santé, une certification d’un médecin est nécessaire pour attester de l’aptitude du travailleur, d’autant plus que le vaccin est obligatoire. Quant au personnel scolaire, il faudra présenter systématiquement les résultats d’un prélèvement tous les 2 jours ou une attestation de vaccin. Seuls, les chômeurs et retraités sont épargnés par cette obligation vaccinale qui ne porte pas son nom.
Les députés et sénateurs exemptés !
Le décret touche ainsi tout le monde, sauf les députés. Toutefois, malgré une injonction gouvernementale, les députés et sénteurs font de la résistance. Ils dénoncent comme une atteinte à la démocratie que le pouvoir exécutif veuille forcer les Chambres à quoi que ce soit.
La population n’est pas dupe.
Un poil en avance sur nous. Sûrement un effet commission européenne par la voix de Draghi. Mais on fait des efforts pour les rattraper, vu ce que Macron pense de l’UE.
Ne pas oublier Barnier, notre Draghi, qu’ils nous vendent dans leur propagande.
Mussolini, Draghi ! Alors qui est le plus “facho” des deux ?
Décidément les hommes politiques du 21ème siècle me font bien rigoler ! MDR !!!????
Atteinte à la démocratie du pouvoir exécutif mais pas pour le peuple qui peut lui prendre tous les risques !!!
Si certains n’ont toujours pas compris qu’ils sont les jouets de ces mafieux, la y’a plus rien à attendre de l’humain