La folie bureaucratique: l’OMS force les autorités françaises à reconnaître les vaccins chinois et Paris décrète qu’il faudra rajouter une ou deux doses de Pfizer ou Moderna!

La folie bureaucratique: l’OMS force les autorités françaises à reconnaître les vaccins chinois et Paris décrète qu’il  faudra rajouter une ou deux doses de Pfizer ou Moderna!

Avec cette crise, presque tous les gouvernements du monde ont réagi de la même manière. On s’achemine vers un régime autoritaire de la vaccination de masse. Une vaccination obligatoire condition d'un passeport vaccinal. Ensuite, les choses se compliquent: les vaccins chinois ne sont  pas reconnus pour le pass sanitaire. Cela a mis de nombreuses personnes vaccinées à l’étranger dans une situation difficile. Mais le 23 septembre dernier, dans un décret paru au Journal officiel, le gouvernement, mis sous pression par l'OMS, a annoncé qu’ils font désormais partie des vaccins reconnus. Mais il y a bel et bien une condition. Il s’agit de les compléter par une dose complémentaire d’un vaccin à ARNm.  On se demande bien quelle étude médicale se trouve derrière une décision aussi bizarre: a-t-on simplement une idée de la compatibilité entre les produits injectés?

Sous conditions d’une injection de Pfizer ou Moderna

Jusqu’à présent, seulement quatre vaccins contre la Covid-19 sont autorisés en Europe. Ils sont aussi les seuls reconnus pour le pass sanitaire frontières. En effet, la Commission européenne et l’Agence européenne des médicaments (EMA) ont opté pour les vaccins à ARN messager de Pfizer, Moderna et AstraZeneca ainsi que le vaccin adénovirus de Janssen (Johnson&Johnson).

De son côté, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) a décidé de reconnaître les vaccins chinois Sinovac et Sinopharm ainsi que le vaccin Covishield Indien (équivalent du vaccin AstraZeneca). Ils sont d’ailleurs les plus administrés dans les pays hors UE (Union Européenne. Pour les personnes ayant reçu ces vaccins, il était impossible d’obtenir le fameux cerfiticat Covid qui leur permet de voyager en Europe. Mais après la parution du décret du 23 septembre 2021 au Journal officiel, leur situation va changer. Le gouvernement a décidé de leur accorder le pass sanitaire à condition qu’ils reçoivent une dose supplémentaire d’un vaccin à ARNm, dont Pfizer ou Moderna.

Schéma vaccinal à compléter

La mise en vigueur du nouvel amendement a résolu le problème des personnes ayant reçu les vaccins chinois, mais qui souhaitent obtenir le pass sanitaire. En effet, ils ne seront plus obligés de refaire une vaccination complète. Il leur suffira d’ajouter une troisième dose Pfizer ou Moderna. Selon une note envoyée par la Direction générale de la santé (DGS) aux soignants, elle devra être administrée dans un délai d’au moins 4 semaines suivant la dernière injection du vaccin chinois.

Comment bénéficier de cette nouvelle dose de vaccin ARNm ? Il faut présenter une attestation de vaccination complète au format papier ou numérique. Qu’en est-il pour les personnes qui n’ont reçu qu’une seule dose de vaccin chinois ? Pour obtenir le pass sanitaire, elles doivent compléter leur schéma vaccinal. Pour cela, il leur faut encore deux doses de vaccin à ARNm.

Il est important de souligner que les personnes ayant reçu deux doses d’une des versions d’AstraZeneca peuvent déjà décrocher le pass sanitaire. Il leur suffit de se rendre sur le portail « Français de l’étranger » ou « Touriste » du site du ministère des Affaires étrangères.

Très peu d'études sur les effets de l’association des vaccins

Le sentiment qui se dégage est qu’on est sorti de la médecine pour entrer dans une logique purement bureaucratique.  Quelles études sérieuses nous garantissent que la combinaison de vaccins n’est pas dangereuses pour la santé?

Les études réalisées jusqu’à présent sont peu nombreuses et affirment que la combinaison de certains vaccins contre la Covid-19 ne présente aucun danger. C’est même conseillé, car cela pourrait faire progresser le niveau de protection.  Selon une recherche menée par l’Université d’Oxford intitulée « Com-Covid1 » par exemple, il est tout à fait possible de combiner le vaccin AZ à adénovirus d’AstraZéneca et le vaccin à ARNm de Pfizer.

Pour rappel, à ce jour, 6.03 milliards de doses ont été administrées à travers le monde. En dépit de cette vaccination des contradictions persistent : les personnes même vaccinées doivent toujours porter un masque, doivent toujours maintenir la distanciation sociale, peuvent être infectées et infecter les autres…et surtout on a compris que le vaccin ne protégeait pas des variants.