Le taux de contamination au Covid-19 repart à la hausse dans certains pays européens. C’est le cas des pays baltes comme la Lettonie, la Lituanie et l’Estonie, le Royaume-Uni et les Pays-Bas. Faut-il craindre une nouvelle vague de contamination? Malgré la vaccination massive imposée par nos autorités sanitaires, les cas augmentent. Ou bien est-ce à cause d'elle? L’immunité collective a-t-elle été compromise par la vaccination généralisée?
Une situation inquiétante pour certains Etats
En octobre 2020, le vieux continent a dû faire face à la seconde vague d’infections au Covid. Avec le retour de la saison chaude et l’arrivée des vaccins, la situation se serait améliorée. Mais depuis quelques semaines, avec l’arrivée de l’automne, certains Etats membres de l’Union européenne (UE) ont enregistré une hausse du taux d’infection.
La situation est particulièrement marquée dans les Pays Baltes. En effet, selon les statistiques de Our world in date, le nombre de nouveaux cas par jour par million d’habitants est de 805,29 en Lettonie ou 52% de la population est partiellement vaccinée, 795,93 en Lituanie ou 66% de la population est partiellement vaccinée et 734,56 en Estonie ou 58% de la population est partiellement vaccinée. Ce sont les taux d’infection les plus élevés depuis le début de l’épidémie pour les deux premiers pays.
La Roumanie fait aussi face à une recrudescence du taux de contamination avec 697,36 nouveaux cas par jour par million d’habitants. Au Royaume-Uni, une légère hausse du nombre d’infections (37.749 en moyenne) a été aussi constatée d’après les données de l’Université John Hopkins.
Enfin, la situation sanitaire est également précaire aux Pays-Bas. Le nombre de nouvelles contaminations a augmenté de 48% la semaine dernière. Il y avait 2.550 individus contaminés par jour et le nombre d’individus hospitalisés a bel et bien augmenté.
Contamination et vaccination, la bataille des chiffres
La hausse du taux de contamination concernerait les pays qui affichent un taux de vaccination faible. C’est le cas de la Roumanie. Dans ce pays, seuls 32% de la population ont été vaccinées et certains individus n’ont même pas complété leur parcours vaccinal. La même situation est constatée aux pays baltes.
Concernant les Pays-Bas, la Docteure Susan van den Hog a indiqué que la hausse du taux d’infection a été enregistrée dans les communes où le nombre d’habitants vaccinés reste relativement faible. Mais a-t-on pensé à tester les vaccinés dans ces communes?
Cependant, si on se réfère aux statistiques officielles publiées par Public Health England (Santé publique Angleterre) , elles montrent tout le contraire, sur une période d’environ 6 mois. On s’aperçoit que les vaccinés sont plus morts du variant indien que les non vaccinés. Même schéma pour Israël, pays le plus vacciné au monde, un article explique qu’une augmentation de la mortalité pourrait être liée aux vaccins administrés en Israël.
Un vrai débat est lancé, donc, pour connaître les véritables effets de la déclaration généralisée. D’une part, la vaccination de la population la plus exposée est une notion qui fait du sens. D’autre part, le fait de vacciner des catégories non exposées a, selon certains scientifiques, empêché l’émergence d’une immunité collective naturelle, meilleur moyen de se protéger du COVID 19 dans le long terme. Tous ne sont pas d’accord: et ceci d’autant plus qu’une remise en cause de la vaccination toucherait au coeur les politiques sanitaires.
A noter que les autorités canadiennes prévoient un déconfinement partiel de la ville de Sydney et dans l’Etat de Nouvelles-Galle du Sud …
Hem, Hem…
La faute d’un stagiaire ? ????
Quoi de plus normal, vu que ces thérapies géniques sont expérimentales et que big pharma n’a pas poussé bien loin les investigations sur la toxicité comme sur les effets secondaires graves, et si jamais il devait y avoir quelques autres connardo-virus ou bien virus tout court un peu agressifs cet hiver, vu que la piquouze jaune flingue le système immunitaire tout en provocant une inflammation généralisée, ça serait l’hécatombe. L’hiver s’annonce chargé.
Il n’y aura pas d’immunité collective car le covid est un virus ARN hautement mutagène. Il est non immunisant , il n’y a donc pas d’immunité collective a atteindre…
Vouloir créer une immunité artificielle temporaire sur quelques mois est un pari :
– risqué vu que l’on ne connait pas bien le virus et son origine
– risqué car on ne sait pas comment le corps va réagir sur le long terme.
– risqué car dépendance a des labos privés étrangers pour sa santé
– une ruine financière a venir !
“Que ton aliment soit ton premier remède”
A l’époque il n’était pas nécessaire qu’Hippocrate précise “bio”
Ne faisons aucun cas des cas. La surveillance virologique des eaux usées est un bien meilleur indicateur.
Aucune méthode standardisée de testing ne régit leur usage et leur qualité.
Seuls comptent pour une épidémie, le nombre morts et subsidiairement celui des malades traités en ville ou à l’hôpital. Il faut aussi avoir connaissance du profil et de l’âge des malades et des décédés.
Chaque cas, sans décès, est l’annonce d’une immunisation naturelle, supérieure à tout vaccin.
Exception à cette règle, les covid et effets indésirables néo-covidiens, post injection ( 1 ou 2 ).
Pour Israel, voir france-soir du 17/02/2021.
Mêmes auteurs et en VF
https://www.francesoir.fr/videos-debriefings/vaccination-en-israel-des-chiffres-de-mortalite-qui-interpellent-video
S’il y avait eu au printemps 2020 autopsie indépendante d’un déclaré honnêtement – pas pour toucher la prime – “covid” sur ne serait-ce que 50 cas on n’en serait pas là
Il est temps de créer une association nationale des parents de victimes mortelles et, pour le moins, des abîmés graves des covid 19, 20 et 21 afin d’ouvrir les yeux des mougeons et d’organiser une demande commune d’indemnisation. Même si, éventuellement obtenue, elle ne serait pas prise sur la fortune du gamin de l’Elysée et des sinistres solidaires, mais sur les impôts des contribuables
Dans l’état actuel de la situation, l’immunité collective est une utopie.
En complément des éléments mis en lumière par Nicolas Dejia, il n’est pas inutile de préciser les conditions la poursuite d’une telle immunité aurait eu des chances de réussir :
– pour que cette immunité puisse être atteinte, il aurait fallu vacciner l’ensemble de la population (au moins 70 à 80 %) en moins d’un mois.
En rencontrant partout le même terrain d’anticorps organisés, ce virus n’aurait pu rencontrer ces différences individuelles qui lui ont permis de muter à loisir.
Au lieu de cela, quasiment un an plus tard, non seulement la population n’est pas vaccinée quasi totalement, mais encore ce virus s’est fabriqué de multiples variantes !
Pour corser le tout, on s’est rendu compte tardivement que l’effet de ces vaccins était plus que limité dans le temps : même si les conditions idéales avaient été réunies pour atteindre une immunité collective, 6 mois plus tard, le moindre foyer viral survivant aurait fait redémarrer l’épidémie de plus belle.
Faire la chasse à ce virus, c’est courir après son ombre.
Tant qu’on ne saura pas quel matériel humain a servi à son développement ou sur quel matériel humain ce virus a été cultivé, il sera à peu près impossible de lutter contre lui.
Il ne reste à souhaiter qu’il se dégrade avec le temps et qu’il meurt de lui-même