Au Royaume-Uni, les autorités sanitaires surveillent de près un sous variant du Delta. Appelé « Delta Plus » ou AY.4.2, il s’agit d’une mutation du variant Delta. Les scientifiques réalisent de nombreux tests en vue de déterminer l'éventuelle menace qu’il représente.
Les détails sur l’AY.4.2: attention, plus contagieux ne veut pas dire automatiquement plus dangereux!
Actuellement, le taux de contamination au Covid repart à la hausse dans certains pays européens. Au Royaume-Uni, Delta reste le variant le plus dominant. Il est à l’origine de la hausse du taux d’infections. Mais selon les données officielles, une nouvelle forme de ce variant circule aussi dans le pays depuis le mois de juillet 2021.
Il s’agit de l’AY.4.2 qui porte aussi le nom de « Delta Plus ». 6% des cas d’infections enregistrés au Royaume-Uni sont dus à ce nouveau variant. Cette sous-lignée de Delta comporte quelques mutations qui affectent la protéine spike, celle que le virus utilise pour intégrer les cellules du corps humain.
Selon le professeur François Balloux, directeur de l’Institut de génétique de l’University College de Londres, l’AY.4.2 est légèrement plus contagieux. Il présente un taux de transmissibilité supérieur de 10%, par rapport au variant Delta. Attention: plus contagieux ne veut pas dire automatiquement plus dangereux !
Les variants ont un impact immédiat: ils font ressortir le peu d'efficacité des vaccins à disposition
Il faut souligner que le Royaume-Uni est un véritable pionnier dans l’étude des modifications génétiques du coronavirus. Le pays a déjà réalisé plus d’un million d’analyses de laboratoire. Pour le moment, les scientifiques britanniques étudient et surveillent de près l’évolution de l’AY.4.2. Certes, il présente une trajectoire croissante. Mais on peut considérer que les Britanniques sont largement protégés par l’immunité naturelle de groupe et l’immunité vaccinale.
Les experts estiment que cette nouvelle ramification du Delta pourrait disparaître avec le temps. Notons que quelques cas d’infections par l’AY.4.2 ont été détectés aux Etats-Unis et au Danemark. Mais le taux de contamination a diminué.
En fait, ce variant Delta plus pose plutôt la question de l’efficacité de la vaccination. Elle est toute relative puisque le Royaume-Uni préconise l’administration de rappels du vaccin Covid aux personnes vulnérables afin de leur fournir une protection optimale.
Malgré le fait que 67% de la population soient vaccinés, le Royaume-Unis enregistre un record de contamination de 40.000 cas de covid par jour, si on se réfère aux statistiques officielles publiées par Public Health England (Santé publique Angleterre). On s’aperçoit aussi que les vaccinés sont plus morts du variant indien que les non vaccinés. On observe le même schéma pour Israël, pays le plus vacciné au monde.
“Mais on peut considérer que les Britanniques sont largement protégés par l’immunité naturelle de groupe et l’immunité vaccinale.”
Quelle immunité vaccinale ? Alors que les dernières études et constatations montrent toutes que les injections géniques mortelles ne protègent en rien lorsqu’il s’agit de contagion et seulement aux alentours de 50 % des complications d’un covid et que, comme vous le faites remarquer, ces injections ont une fâcheuse tendance à flinguer le système immunitaire.
Si une seule chose est sûre, c’est que toutes les pourritures qui clament que “le vaccin est sûr” et “qu’il n’est pas dangereux” vont prendre à terme le chemin de la CPI de La Haye, pour tentative de génocide.
CORRECTION : Absolument rien ne prouve que les injections géniques expérimentales mortelles protègent de quoi que ce soit, notamment à cause de ça : https://www.studyfinds.org/half-will-develop-long-covid/ où l’on apprend que 50 % des gens l’ayant contracté font un covid long…
ILS surveillent ce qui n’existe pas et n’a jamais été vu ?? OUVREZ donc vos yeux !!!