Selon le tableau de bord de l’université américaine Johns Hopkins, le Covid-19 a fait plus de 5 millions de morts dans le monde. C’est un bilan établi à partir des données officielles fournies par les différents Etats et leurs autorités sanitaires. C'est un chiffre fiable et qui nous dit que le nombre de victimes du COVID représenterait moins de 2% des victimes de la grippe espagnole
5 millions de morts en 2 ans
Le Covid-19 a fait son apparition en Chine, dans la ville de Wuhan, il y a environ deux ans. Le coronavirus s’est ensuite répandu dans plusieurs continents et en dépit des évolutions en termes de traitement et de protections sanitaires, il continue à tuer des gens actuellement. On constate une recrudescence du taux d’infections dans plusieurs pays de l’hémisphère Nord suite au retour de la saison froide.
Depuis le début de la pandémie, l’université américaine Johns Hopkins a tenu un tableau de bord qui met en évidence le nombre de décès liés au Covid-19. Mis à jour régulièrement, il compile les statistiques officielles émanant des autorités sanitaires des différents pays du monde.
Lundi 1er novembre dernier, le tableau de bord de cet établissement se trouvant à Baltimore a révélé que la barre de 5 millions de morts est dépassée. L’agence AFP qui a également réalisé son propre décompte a présenté un bilan presque similaire.
Jusqu'à 5% de la population mondiale tués par la grippe espagnole, 0,07% par le COVID-19
Le Covid-19 a été particulièrement meurtrier dans certains pays. Il a fait 746.000 morts aux Etats-Unis, 608.000 au Brésil et 458.000 en Inde. Ce sont les pays les plus touchés par la pandémie.
Le Pérou présente en revanche le taux de décès le plus élevé par rapport au nombre d’habitants. En effet, comptant 33 millions d’habitants, le pays a enregistré 200.000 morts. En France, le Covid-19 a tué 118.000 individus depuis le mois de mars 2020.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui souhaite vacciner 70% de la population mondiale d’ici 2022, estime que le nombre de décès réels liés à la pandémie reste sous-évalué dans certains pays. L’OMS pense que le nombre de victimes pourrait être deux ou trois fois plus élevés.
En fait l’OMS se trompe sur plusieurs plans. Face à ces chiffres « officiels », on est en droit de se poser des questions notamment sur la « surmortalité » provoquée par l’épidémie. En France, l’INSEE conduit à revoir les chiffres officiels de mortalité à la baisse. En effet, on a enregistré comme décès « dus au COVID », des décès survenus pour d’autres raisons chez des personnes testées positives sans que l’infection se soit transformée en maladie. Et il est tout à fait probable que le même raisonnement puisse être appliqué à la plupart des pays occidentaux dont les gouvernements ont voulu construire le récit d’une « pandémie ». A l’inverse, l’OMS ne pose jamais la question du nombre de morts en Chine, berceau de l’épidémie, dont le chiffre officiel de 4849 morts n’est pas crédible.
Au total, donc, même en tenant compte des objections de l’OMS, il est probable que le chiffre de 5 millions à l’échelle mondiale soit proche de la réalité. Cela représente 0,07% de la population mondiale. Par comparaison, la grippe espagnole, en 1918-19 a tué, d’après les dernières estimations historiques, entre 2,5 et 5% de la population mondiale.
Quand on parle de 5 millions s’agit-il de morts du seul SARS cov2 échappé de Yuhan sans aucune comorbidité, non victimes d’une injection et tous autopsiés pour vérifier qu’ils sont bien morts de la Covid et surtout pas, par exemple, avec 1, 2 ou 3 co-morbidités.
Evidemment que la question est ironique
Mais si on se fie à la pratique mensongère gouvernementale française et si on songe, par exemple, à ces médecins malhonnêtes français qui ont fait des déclarations de décès qualifiés « covid » pour gagner dessous, en sachant que ce n’était pas dû à un des premiers variants (pas forcément toujours aussi virulent que l’initial chinois), le vrai chiffre, c’est quoi ?.