Le mercredi 10 novembre, Chen Shih-chung, chef du Centre central de commandement des épidémies ou CECC a révélé la demande de suspension des doses de rappel du vaccin de Pfizer/ BioNTech par un comité d’experts, craignant un accroissement des risques de myocardite chez les jeunes de 12 à 17ans. A Taiwan, le vaccin Pfizer-BioNTech est le seul vaccin COVID-19 proposé chez les adolescents. Le déploiement des premières doses pour les 12-17 ans a débuté le 22 septembre dernier.
Des cas d’inflammation du muscle cardiaque recensés
Nouveau revers pour le géant Pfizer, alors que son PDG Albert Bourla fustigeait ceux qui mettaient en doute l’efficacité de son vaccin, les qualifiant de « criminels ». Voilà que Taiwan par mesure de précaution, a décidé de suspendre le vaccin Pfizer-BioNTech suite à l’apparition d’effets secondaires chez les jeunes vaccinés de 12 à 17 ans,
Le Chef du Centre de gestion centrale des épidémies Chen Shih-chung, a annoncé la suspension du vaccin Pfizer pour les doses de rappel jusqu’à nouvel ordre. Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination avait décidé, en début de semaine, de ne pas administrer les deuxièmes doses aux jeunes de 12 à 17 ans jusqu’à nouvel ordre. A ce stade, le Comité estime également qu’il n’est pas encore envisageable d’approuver les vaccins anti-Covid chez les enfants âgés de moins de 12 ans.
Depuis quelques semaines, des cas d’inflammation du muscle cardiaque et/ou de la paroi externe du cœur après administration du vaccin de Pfizer ont été signalés. Ils concernent notamment les adolescents de 12 à 17 ans. Ces effets secondaires sont survenus après l’injection de la seconde dose.
Les statistiques américaines semblent également corroborer les faits, car d’après ces dernières, les risques sont 10 fois plus accrus après l’injection de la seconde dose de vaccin. Les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) américains ont signalé l’inflammation du myocarde induite par la vaccination fait partie des effets secondaires rares.
Une période de deux semaines pour évaluer les risques
Par mesure de précaution, le ministère de la Santé et des Affaires sociales via son Comité consultatif pour les pratiques de vaccination ou ACIP de Taïwan a décidé de suspendre l’administration de la seconde dose de vaccin pour les 12- 17 ans pour un délai de deux semaines.
Au cours de cette période, un groupe d’experts et de médecins des CDC (Centers for Disease Control) prendront le temps d’examiner de plus près les 16 cas de myocardites qui sont apparus chez des jeunes après avoir effectué leur vaccin Pfizer/BioNTech.
Ces études permettront d’éclairer les décisions en lien avec l’administration des secondes injections de vaccin. Et comme le risque est tout de même important, outre le fait de considérer ces études, le verdict final s’appuiera également sur des données internationales.
À ce sujet, M. Chen a tenu à préciser qu’à travers le monde, à l’exception du Royaume-Uni et de Hong Kong, les jeunes de 12 à 17 ans peuvent actuellement recevoir leur seconde dose. En effet, suite aux constats de myocardite et de péricardite, Hong Kong et le Royaume-Uni ont opté pour l’administration d’une dose unique. Ainsi, dans de tels contextes, le chef du CECC a déclaré qu’il n’est pas encore opportun de se pencher sur l’approbation des vaccins pour les enfants de 5 à 11 ans.
Taiwan compte, depuis les débuts de la pandémie, 16 417 cas, avec un total de 847 décès. Par ailleurs, les statistiques du CECC du 31 octobre révèlent un ensemble de 17,2 millions de personnes ayant reçu une dose de vaccin, soit l’équivalent de 73,4% de la population.
Le duo de choc Pfizer-BioNTech, un vaccin pas si sûr
Rappelons que des cas de myocardite, ont été signalés dans le monde entier chez des personnes ayant reçu des vaccins COVID-19 à ARNm, des marques Pfizer-BioNTech et Moderna.En France la Haute Autorité de Santé déconseille le vaccin Moderna suite au risque élevé de myocardite et péricardite pour les moins de 30 ans.
L’Agence européenne du médicament examine actuellement la demande d’autorisation du vaccin Pfizer pour les enfants de 5 à 11 ans. Aux Etats-Unis, depuis le 03 novembre, l’administration Biden entame la campagne de vaccination chez les enfants (5-11 ans), une population jaugée à près de 28 millions.
Pourtant la vérité sur les effets secondaires des vaccins Pfizer commence peu à peu à émerger. Va-t-on vers un scénario comme celui du vaccin AstraZeneca? Rappelons-nous ou le 15 mars dernier, le Premier ministre Jean Castex , nous assurait « qu’il fallait avoir confiance dans le vaccin AstraZeneca ». A cause des effets secondaires graves recensés, ce vaccin a été depuis lors abandonné dans la stratégie vaccinale de la France, et – cyniquement – laissé aux pays pauvres à travers l’initiative Covax de l’ONU.
ZAPPING Mensonges et scandales sanitaires (version complète) : https://www.youtube.com/watch?v=-urrc2dt2_4
Peut-être, mais comme aucun de nos gouvernants ne regarde ces informations pour ce qu’elles sont mais plutôt pour ce qu’elles les contrediraient, probable que personne ne va la relayer. Qui parle encore de l’Inde avec l’HCQ et l’Ivermectine? Qui parle de l’Afrique, faiblement vaccinée et avec HCQ en boucle?
Ou de Madagascar, avec sa boisson à l’Artemisia Annua et autres simples ? Nul doute que ça a du fonctionner du feu de dieu, parce que plus un seul mot n’en a été dit après cette nouvelle.
Certaines vérités se gagnent à la force du poignet (naaaan, pas de mauvaises pensées, mon fils. M’frez 10 Avé et 10 Pater pour la peine ! ;-p) car elles nécessitent de passer de la passivité aux activités de recherches volontaires et d’exercice de sa sagacité – ceux qui ne veulent pas faire d’efforts sont ceux qui resteront les yeux fermés jusqu’à ce que la vérité nue leur rentre dedans de plein fouet, ce qui fait toujours très mal.
Il y a également et malheureusement, tous ceux qui ne peuvent pas réfléchir, parce que l’école les y a insuffisamment formé (manque de français, puisque la langue, c’est la pensée et manque de philosophie, qui apprend à douter, disséquer et reconstruire pour voir ce qu’il en est vraiment), qui sont légion dans ce pays où les élèves savent tout sur les éoliennes, mais ne savent même pas l’écrire correctement et encore moins additionner les pales de tête quand il y en a plusieurs… Mais c’était le but en laissant volontairement les rênes sur le cou du cheval fou de l’ednat, les gens ayant du mal à comprendre étant bien plus facilement manipulables – la preuve, 66 % croient encore à la mouche qui pète, concernant les thérapies géniques expérimentales mortelles… (enfin bon, si ce chiffre sort des mêmes usines que celles qui nous annoncent un pause-caca à 24 % depuis des lustres, il y des chances qu’il soit aussi bien moins élevé;)
Bourla, le non vacciné l’antivax autrement dit, touve criminel de ne pas vacciner une population adolescente qui ne risque absolument rien! Pas terrible son argumentaire publicitaire en faveur de la vaccination !