Mené par le groupe Psychologie et Corona, établi par l’ULB, UCLouvain, KU Leuven et UGent, un baromètre de motivation a révélé que 33% des vaccinés en Belgique refusent une troisième dose du vaccin contre le Covid-19.
Un refus plutôt légitime
Le but de ce sondage, c’est d’identifier le nombre des vaccinés disposés à recevoir une troisième injection du vaccin contre le Covid 19. Vers la fin du mois de novembre, 49% des participants à l’étude ont déclaré en faveur d’une troisième dose de rappel et 18% d’entre eux ont dit qu’ils pourraient l’accepter.
En général, les personnes âgées, les individus immunodéprimés, les femmes, les personnes qui n’ont jamais été infectées et les individus les plus instruits sont ceux qui sont ouverts à l’administration d’une nouvelle dose du vaccin.
Qu’en est-il des autres répondants qui représentent 33% des participants au sondage ? 17% d’entre eux hésitent, tandis que les 16% restants sont totalement contre une troisième injection.
Selon le psychologue social Vinvent Yzerbyt, « cela peut se comprendre en partie ». L’expert pense qu’on a trop tendance à présenter la vaccination comme la clé de la liberté. Du coup, les gens finissent par oublier sa principale vocation qui est de leur offrir une protection contre le Covid-19.
Vers une baisse du taux de vaccination
En Belgique, 88% de la population est entièrement vaccinée et 19% des Belges ont déjà reçu une troisième injection. Selon certains scientifiques, si les 33% des vaccinés refusent de recevoir une dose de rappel, le taux de vaccination va chuter en dessous de 70%.
Notons que l’alliance Pfizer et BionTech a annoncé qu’avec ce nouveau variant originaire d’Afrique australe, la modification des vaccins pourrait être nécessaire. Pfizer a même déjà annoncé sa date de sortie, « d’ici mars 2022 ».
L’histoire a commencé quand les Etats se sont arrogé le droit d’obliger leurs citoyens à recevoir des vaccins, et depuis 2018, moyennant chantage. Elle ne s’arrêtera que si nous les arrêtons.
Un acte médical relève des médecins et de leur responsabilité. Les politiciens, eux, ne sont jalais responsables et encore moins coupables, de leurs méfaits.
Quand Petain a signé des accords avec les labos suisse allemand pour supprimer les formations d’herboristes, ce fut aussi la fin des traitements efficaces à prix raisonnables qui ne vidaient pas nos caisses de sécu laminées comme aujourd’hui
Les big pharma sont les plus grands criminels de guerre aujourd’hui, complices des états sans le bruit des bottes, ils aident a éliminer la population à l’aide de simples aiguilles et flacons et en plus c’est le peuple qui paye ses doses pour sa propre fin…