Mercredi 8 décembre, dans un communiqué, les responsables de centres hospitaliers de Lens et de Bethune-Beuvry ont annoncé qu’ils sont obligés de déclencher le Plan blanc. C’est un dispositif conçu pour faire face.... officiellement, à la hausse du taux de positivité au Covid-19. En fait, à la crise de l'hôpital induite par les suppressions de lits qui n'ont pas cessé malgré la crise du COVID. Et puis, il y a bien sûr, le sujet tabou: cette vaccination qui n'empêche pas les hospitalisations ni les cas graves. Sans oublier que son obligation pour les soignants a privé les hôpitaux d'une main d'oeuvre rare et précieuse.
Une hausse des cas d’infections
Le principe du fameux Plan blanc, c’est avant tout de « mobiliser des ressources supplémentaires par des réorganisations internes ». Les hôpitaux de Lens et de Bethune-Beuvry vont également devoir adapter les mesures à la situation actuelle.
Ces décisions ont été prises pour faire face à la hausse incessante des cas d’infection. Aux dernières nouvelles, le taux d’incidence dans le Pas-de-Calais a largement augmenté en un mois. En effet, il est passé de 36 cas pour 100.000 habitants à 373 entre le 1er novembre et le 7 décembre. Enfin, c’est la version officielle. Le potentiel afflux de patients COVID serait, une fois de plus le révélateur de la crise de l’hôpital, où les suppressions de lit n’ont pas cessé malgré la crise du COVID.
Le nombre de patients hospitalisés est aussi à la hausse, y compris ceux qui ont besoin d’intégrer les soins intensifs. Les centres hospitaliers comme le CHU de Lille doivent accroître leur capacité d’accueil. Il leur faut surtout des équipes médicales et paramédicales bien formées capables de prendre en charge les patients, d’où le déclenchement du Plan blanc.
Vers une rupture des services ?
A partir de lundi, 64 lits et places équipés seront réservés aux patients atteints du Covid. Ils seront répartis dans les hôpitaux de Lens et de Bethune-Beuvry. Il y aura des box aux urgences, des lits de réanimation et des lits de soins intensifs pneumologiques. La mise en place d’unités de spécialité sera aussi au programme. Chacune d’entre elles sera capable d’accueillir 2 à 3 patients qui ne nécessitent pas d’oxygène.
Dans les centres hospitaliers de La Bassée et d’Hénin-Beaumont, des unités de soins destinés à accueillir les patients « post-covid » et des patients Covid gériatriques stables seront aussi disponibles. En fait, on voit pointer ici un autre sujet, tabou: comment se fait-il qu’on envisage un afflux semblable à celui de l’hiver dernier alors que (1) les variants du COVID sont de moins en moins dangereux; (2) et il y a de plus en plus de vaccinés?
Dans les secteurs de chirurgie ou de médecine, des déprogrammations seront aussi envisageables. Leur application dépend de l’évolution de la situation. Bien entendu, personne ne parle de ces soignants suspendus par refus de la vaccination obligatoire, qui manquent cruellement à l’hôpital.
Nous avons déjà évoqué dans nos colonnes que l’obligation vaccinale allait jouer un rôle déterminant dans le niveau actuel de pénurie en personnel soignant. Rémi Salomon, le président de la commission médicale d’établissement de l’APHP avait affirmé dernièrement :” la situation de l’hôpital est catastrophique. […] Il y a des services d’urgence qui ferment, faute de médecins ».
Pour les scientifiques, le vrai risque cet hiver sera l’épidémie de grippe, et non cette 5e vague (de la peur). Le risque de saturation des hôpitaux par une épidémie de grippe n’est pas à sous-estimer .Chez les plus petits le mois dernier, la bronchiolite sature les services de pédiatrie alors qu’elle était inexistante l’année dernière.
Nous expliquons pour cette raison depuis plusieurs semaines qu’un moratoire sur la suspension des soignants non-vaccinés est plus qu’indispensable, pour éviter le chaos
Ces incapables n’admettent jamais aucun échec, des collabos les soutiennent ou les protègent, je nous souhaite bonne chance.
Ces assassins par procuration iront jusqu’au bout comme ça se fait dans toutes les sectes.
Les soignants vaccinés sont plus contagieux que les soignants no vaccinés. L’étude sur 2000 cas du Laboratoire Suisse de Recherche à Genève concluent que les citoyens vaccinés seraient 10 fois plus contagieux que les non-vaccinés. Les moins contagieux ne sont plus payés et sont suspendus , et le Gouvernement Français manque de la plus élémentaire bienveillance: même les valeurs humaines chrétiennes ne sont plus appliquées…Pourtant le (Bon) Dieu ne fait pas de discrimination entre les fidèles vaccinés et les fidèles non vaccinés! De plus , la philosophie antiscientifique des autorités sanitaires privilégiant une “vérité unique” met en veilleuse l’esprit scientifique de Bachelard, et piétine la liberté, l’égalité , la fraternité et la laïcité en France : nous ne reconnaissons plus notre pays qui irrespecte ses propres lois, telles la Constitution dans son article 16 : nul ne peut être puni ou rejeté pour les opinions qu’il(qu’elle) exprime. Qu’est donc devenue la Démocratie ?