C’est le brouillard au ministère de l’éducation nationale, après l'annonce de Jean-Michel Blanquer, mardi 28 septembre, sur le renforcement du nombre de tests pour retourner en classe. De son côté, Matignon évoque une concertation «en cours» mais «non tranchée». Et si cette nouvelle stratégie de « tester et re-tester » n’était qu’une nouvelle sournoiserie pour amener à la vaccination générale des enfants. Alors que le gouvernement a annoncé, mercredi 22 décembre, l'élargissement de la campagne vaccinale à l'ensemble des enfants âgés de 5 à 11 ans.
Cafouillage et rétropédalage de Blanquer sur le nombre de tests
« Le dépistage du Covid-19 sera élargi dans les établissements scolaires », a indiqué lundi 27 décembre Jean Castex, maintenant la ligne gouvernementale de ne fermer les établissements qu’en «dernier recours».
Le protocole actuel, décidé fin novembre, ne prévoit plus la fermeture d’une classe dès le premier cas détecté. À l’heure actuelle, quand il y a un cas positif à l’école primaire, les enfants ne reviennent à l’école qu’en présentant un test négatif.
Or, mardi 28 décembre, Jean-Michel Blanquer a indiqué que, désormais, il faudrait «probablement» présenter «deux ou trois tests» négatifs PCR ou antigéniques, contre un seul actuellement, à plusieurs jours d’intervalle pour revenir à l’école. Une évolution du protocole qui serait définie en concertation avec le Conseil scientifique, a précisé le ministre de l’Éducation nationale au micro de France Inter.
Interrogé sur les modalités d’un tel protocole, l’entourage du ministre précise toutefois que ce n’est pour l’heure qu’une « hypothèse de travail ».
D’autant qu’à l’issue du Conseil de défense, lundi dernier, le premier ministre, Jean Castex, assurait aux Français que l’école reprendrait bien le 3 janvier sans évolution notable du protocole.
Jean-Michel Blanquer s’est-il trop avancé ? Car de son côté, le gouvernement attend les conclusions du Conseil scientifique et de la Haute Autorité de Santé qui étudient la spécificité du variant Omicron, en observant ce qui se passe en Afrique du Sud et en Angleterre. « On manque de recul, cela prend du temps« , explique le cabinet du ministre.
Bafouillage et lapsus de Blanquer … bref, rien nouveau au ministère de l’éducation nationale.
La vaccination massive des enfants en ligne de mire
Le Conseil Scientifique a indiqué, jeudi 23 décembre, qu’un tiers des enseignants pourraient manquer à l’appel d’ici la fin janvier.
L’épidémiologiste Arnaud Fontanet a assuré qu’il fallait « se poser la question de l’école ». Le scientifique a prévu un taux d’absentéisme majeur chez les enseignants comme chez les élèves. « Parmi les enseignants, il y aura un tiers qui sera touché, voire plus, de façon directe ou indirecte. Ce sera la même chose pour les élèves. Car vous aurez dans chaque classe plusieurs enfants qui seront infectés ou cas contact » a-t-il alerté dans les colonnes de BFMTV.
Ou comment sous-entendre que les enfants seront les responsables désignés d’une « hypothétique » future dégradation de fonctionnement de l’éducation nationale.
Faire deux ou trois tests à plusieurs jours d’intervalle va multiplier les risques de trouver des cas positifs dans les classes. Imposer une telle mesure provoquerait un « stress supplémentaire », soutient Emmanuel Garot, président de la Fédération des parents d’élèves à Paris.
Du côté des parents d’élèves, les avis sont mitigés. «Bien sûr qu’il faut tester les élèves », assure Gilles Demarquet, président de l’Association de parents d’élèves de l’enseignement libre (Apel).
« Mais combien de parents vont devoir demander des arrêts de travail pour s’occuper des petits durant l’intervalle de ces tests? »
«Quand ils seront déclarés positifs, que ferons-nous? A priori, il n’y aura pas de quoi assurer l’enseignement à distance. »
Ce gouvernement scélérat nous ressort, une nouvelle fois, la méthode appelée « problème -réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une «situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui -ci soit lui -même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.
Rien n’est le fruit du hasard. En amont, on ouvre la vaccination à l’ensemble des 5-11 ans et quelques jours après on alerte sur une hypothétique mise à mal du système éducatif.
Ensuite, on suggère de tester et re-tester les enfants et face au stress généré par ce protocole farfelu, on apporte la solution du vaccin.
Comme pour les adultes auxquels l’exécutif assume le chantage « vaccin ou confinement », le gouvernement s’attaquera, demain, aux enfants par un chantage « vaccin ou fermeture des écoles ».
Quelle stratégie de placement avant la censure du gouvernement ?
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On ne saurait mieux dire. Cette campagne de peur et de culpabilisation des enfants est abjecte.
Elle vise bien plus: maintenir les parents dans la peur en se servant des enfants.
J’espère que les parents vont se réveiller avant qu’on ait à déplorer le décès de nombreux enfants. Que l’on fera passer pour des accidents « normaux » (voir la campagne en cours laissant croire que les AVC, ça peut arriver à 5out le monde. Ils ont tout prévu…)
Mais perdre un enfant n’est jamais « normal ».
Ça va être l’un des piliers de la résistance passive (oupas), si les parents laissent leurs gamins à l’école, alors ça sera encore plus la Bérésina pour les libertés fondamentales, si au contraire ils les en sortent, tout espoir sera permis.