Pfizer écarte progressivement ses concurrents du marché du vaccin en Occident. Dans un communiqué, la directrice des CDC (Center for Disease Control and Prevention), le Dr Rochelle Walensky, a annoncé que les enfants et adolescents âgés de 12 à 17 ans devraient recevoir une dose de rappel, cinq mois après la première injection. Pour autant, à ce jour, aucun argument ne justifie la vaccination urgente des adolescents. En général, ces derniers ne tombent pas malades et ne meurent pas du COVID-19.
Un moyen de protéger les enfants contre le variant Omicron?
Ce mercredi, dans un communiqué, les CDC ont annoncé que les enfants de 12 à 17 ans devront faire un rappel de vaccin Covid-19 dans un délai de 5 mois après la première dose de vaccination. Selon le Dr Rochelle Walensky, c’est un moyen de les protéger contre les complications et les maladies graves. Une dose de rappel leur procurerait également une protection optimale contre le variant Omicron. On n’est plus dans la science mais dans le démarchage pour placer des doses de vaccin.
En début de semaine, la Food and Durg Administration (FDA) a autorisé l’utilisation d’une dose de rappel Pfizer-BioNTech chez les adolescents. Le commissaire par intérim de la FDA, Janet Woodcook, a indiqué également que le coronavirus ne cesse d’évoluer et qu’il faut s’y adapter rapidement.
Elle a toutefois ajouté que « l’utilisation des meilleures données scientifiques disponibles » est nécessaire dans la prise des décisions afin de garantir la sécurité des Américains
Israël un mauvais exemple ?
Israël a déjà procédé à des injections de rappel pour les enfants. Officiellement on a constaté que les effets secondaires étaient rares.
Pour les pays adeptes de la vaccination, comme les États-Unis, Israël reste un modèle. Avec le variant Omicron , les autorités israéliennes font pourtant face à une flambée de contamination alors que le pays compte plus de 70% de vaccinés,
La FDA a déclaré avoir pris sa décision après avoir examiné des données provenant d’Israël, qui comprenaient des informations sur 6 300 adolescents âgés de 12 à 15 ans ayant reçu une injection de rappel au moins cinq mois après leur vaccination initiale à deux doses.
Les données n’auraient révélé aucun nouveau cas d’effets secondaires comme la myocardite, une inflammation du cœur, et la péricardite chez certains jeunes ayant reçu le vaccin.
Les CDC ont recommandé le vaccin Pfizer aux enfants de 12 à 15 ans en mai et aux enfants de 5 à 11 ans en novembre. Il n’y a toujours pas de vaccin autorisé aux États-Unis pour les enfants de moins de 5 ans.
À ce jour, les essais cliniques n’ont jamais permis d’évaluer suffisamment le risque d’effets secondaires du vaccin Pfizer Biotech. Un simple communiqué de presse suffit à Pfizer pour rassurer ses utilisateurs sur l’innocuité de ses vaccins contre la Covid-19. Et les assurances données par les autorités sanitaires n’apportent pas plus d’élements chiffrés.
Rappelons d’ailleurs que le Centers for Disease Control and Prevention ou CDC avait déjà sorti un rapport relatant les effets négatifs que pouvait avoir la vaccination sur les sujets âgés de 12 à 17 ans. Même pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les bénéfices d’une vaccination chez les plus jeunes ne sont pas encore prouvés, les adolescents ne présentant pas de facteurs de risques.
Ce qui est bien prouvé c’est que plus on vaccine mieux Pfizer se porte, et sa c’est tout bénef. Vous hésitez à vous faire vacciner, à la rigueur avec beaucoup d’effort… on peut comprendre, par contre hésiter à s’acheter des actions Pfizer ça c’est se faire du mal !
Le titre est significatif: Pfizer n’a même plus besoin des autorités sanitaires…
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