Depuis que la vaccination anti-Covid des 12 à 17 ans est autorisée, l’accord parental du père ou de la mère a suffi pour la vaccination de l’enfant. Aujourd’hui pour le vaccin des 5-11 ans, le ministère de la Santé considère qu’il est désormais obligatoire d’obtenir l’approbation des deux parents. En effets, la vaccination des enfants fait l'objet de nombreux débats,
Après Israël et les Etats-Unis, sous le prétexte fallacieux de faire face à une cinquième vague de contamination, l’Europe a également débuté la campagne de vaccination chez les petits âgés de 5 à 11 ans. Pour cette nouvelle cible, le CHMP a recommandé le vaccin Cominarty de l’alliance BioNTech /Pfizer.
Le ministère de la Santé , ce 6 janvier a fait savoir qu’il faudrait le consentement des deux parents pour les 5-11 ans et non plus d’un seul parent : “Désormais (…) il faut l’accord des deux parents pour vacciner les enfants”.
En effet, cette nouvelle directive répond à la demande qui a été stipulée par le Conseil d’État. Selon le ministère, il ne sera pas nécessaire que les 2 parents se présentent ensemble au moment de la vaccination, mais il importe que le concerné vienne avec une attestation sur l’honneur qui souligne que le parent absent approuve l’injection.
Pour le cas des enfants âgés de 12 à 17 ans, une seul autorisation reste suffisante pour recevoir le vaccin.
Une vaccination qui divise
Depuis le 22 décembre, date à laquelle le vaccin a été autorisé pour les individus âgés de 5 à 11 ans, on a enregistré près de 67.000 enfants vaccinés. Et même si le taux semble moins important, le ministère est confiant et précise que cela « augmente bien ».A noter que la vaccination des enfants n’est pas obligatoire, et ne donne pas lieu à un passe sanitaire.
D’après les informations récoltées, pour la seule journée du mercredi 5 janvier, la campagne pédiatrique a recensé 17.000 vaccinations. Actuellement un peu plus de 400 centres peuvent administrer ce type de vaccin.
Rappelons-le, fin novembre, l’Organisation mondiale de la santé (OMS)reconnaissait que les bénéfices d’une vaccination chez les plus jeunes n’étaient pas encore prouvés, les enfants ne présentant pas de facteurs de risques. Pour de nombreux parents, la vaccination de leurs enfants est un sujet qui divise. Beaucoup de parents sont sceptiques quant à l’effet des vaccins sur leurs enfants, près de 7 sur 10 sont opposés à ces injections. Et on comprend pourquoi, Maitre Carlo Brusa a ainsi déclaré« je ne veux pas que mes enfants soient vaccinés, car des gens en sont morts ».
Et si on parlait d’ «inoculations» et non de « vaccination »? Systématiquement.
Ces produits n’ont aucune caractéristique d’un « vaccin ». Et d’ailleurs le CDC en a changé officiellement la définition, ce qui ne change rien à l’acception commune de ce mot, mais permettra de débouter ceux qui auraient l’idée d’attaquer les autorités pour tromperie
Les manipulations commencent toujours par celles du vocabulaire…