L’Agence européenne des médicaments ou AEM a commencé à évaluer la demande d'utilisation de la dose de rappel de Comirnaty (vaccin de BioNTech/Pfizer) qui est destinée pour les adolescents âgés de 12 à 15 ans. Dans le même élan, la requête d’utilisation du vaccin pour ceux âgés de 16 à 17 ans est également à l’ordre du jour. Comme à son habitude, BioNTech /Pfizer se veut déjà rassurant, les avantages du vaccin seraient plus importants que les risques.
Dans un communiqué, l’Agence Européenne du Médicament déclare procéder actuellement à l’évaluation de la dose de rappel du vaccin Cominarty de Pfizer pour les adolescents de 12 à 15 ans.
En effet, face au constat d’un taux d’immunité qui s’affaiblit avec le temps, l’alliance Pfizer/ BioNTech a récemment soumis des données relatives à la dose de rappel pour les jeunes adolescents au comité des médicaments à usage humain de l’AEM.
Par ailleurs, l’AEM tiendra également compte des résultats obtenus en Israël, ou des analyses proposées dans d’autres pays qui servent d’appui aux données via une situation réelle.
Une évaluation des données comme guise de garantie
Si les études soumises sont validées, la Commission européenne pourra ensuite faire pencher la balance en faveur ou en défaveur du vaccin Pfizer/BioNTech et l’autoriser ou non dans l’ensemble des pays de l’Union européenne. Par la suite, chaque pays sera libre de décider individuellement.
Néanmoins, les conseils sur l’administration des vaccins restent la prérogative des groupes consultatifs techniques nationaux de vaccination qui guident les campagnes de vaccination dans chaque État membre de l’UE.
A cet effet, les organismes nationaux de santé publique peuvent émettre des recommandations officielles sur l’utilisation des doses de rappel, et sur les exigences de certification de voyage associées, en tenant compte des nouvelles données d’efficacité et des données de sécurité limitées.
Si dans un communiqué, Pfizer et son partenaire allemand ont indiqué que les effets secondaires chez les moins de 18 ans sont minimes – autrement dit, il n’y aurait pas d’effets secondaires graves – le point de vue n’est pas partagé aux Etats-Unis où le Centers for Disease Control and Prevention ou CDC a sorti un rapport relatant les effets que pouvait avoir la vaccination sur les sujets âgés de 12 à 17 ans.
Pour rappel, le ministère japonais de la Santé a lancé une mise en garde sur les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 Pfizer et Moderna chez les adolescents et les jeunes individus de sexe masculin. Certains d’entre eux ont en effet développé de sérieux troubles cardiaques.
Il y a également eu l’incident à la clinique Sutter Health en Californie, ou 14 enfants (dont deux moins de 12 ans) ont été victimes d’erreurs médicales.
L’information étant ardue, problématique voire impossible d’accès, je vous offre ce qui suit.
Le CSI (Conseil Scientifique Indépendant) en sa réunion publique 42 du 10 février 2022 :
1
Hommage appuyé au Pr Luc Montagnier décédé le 08 février 2022.
2
Ariane Bilheran, de la psychopathie perverse narcissique.
3
Christine Cotton, des dissimulations expérimentales de Pfizer sur son vaxxin avant commerce.
Vidéo (durée 02:08:20, 238Mo) téléchargeable d’un clic-droit sur la vidéo : “Enregistrer la vidéo sous …”
https://sentrais.eu/csi-42-10fevrier2022.mp4
La qualité de la vid est bonne (640 x 360 px), et le son demeure capital !
On commence à injecter de nombreux adolescents et on réfléchit après?
C’est bien la preuve que, comme pour les adultes, on est en pleine expérimentation. Au choix, d’une arme biologique ou d’une modification du génome humain.
Ce qui n’enlève rien à la finalité du passe institué grâce aux injections ( faisant suite à une fausse pandémie d’un virus peu létal que l’on peut très bien soigner )comme instrument totalitaire…
Ce 13 février nous apporte que des nouvelles rassurantes, merci ces grandes institutions multinationales, on le dit plus ainsi c’est du multilatéral… qui veillent avec diligence sur notre santé, merci merci. On est pas prêt de la voir s’éclater cette bulle de conneries et on courre le risque qu’elle devienne chronique.
à noter que l’AMMc (phase 3) autorisation de mise sur le marché conditionnelle, est délivrée par l’EMA (aka AEM), avec des mises à jour (extensions d’application) périodiques.
La HAS et l’ANSM produisent leurs propres textes sans nécessairement se référer au niveau supérieur, ou aux pays membres de l’UE.
Le Ministre décide ensuite selon son bon plaisir, ou celui du meilleur épidémiologiste de France.
Ces injections ont un rapport bénéfice risque négatif pour les adolescents. Le principe de précaution devrait s’appliquer. Je n’arrive pas à comprendre que des parents aient pu laisser leurs enfants se faire injecter ces substances sans se renseigner davantage : la prudence est de mise ! Il est vrai qu’une majorité a accepté cela pour vivre normalement, ce qui m’autorise à parler d’extorsion de consentement de la part des dirigeants politiques qui n’ont pas donné une information complète et sincère sur ces “vaccins”.