L’unité japonaise de Merck & Co Inc indique qu’elle va accélérer les importations de son antiviral molnupiravir, sous le nom commercial Lagevrio, un traitement oral contre le Covid-19. Il s’agit de faire face à la hausse des nouveaux cas d’infection liés au variant Omicron. En fait Merck a profité du fait que le Japon est devenu prudent sur la vaccination et recommande officieusement l'ivermectine pour placer son médicament antiviral. On est tout de même très perplexe devant l'attitude du gouvernement japonais, qui confond personnes porteuses du virus et personnes malades pour justifier ses achats. Surtout pour se procurer un médicament dont la dangerosité est prouvée.
800.000 doses de traitement d’ici mars
Les autorités réglementaires de la santé japonaises ont approuvé l’utilisation du traitement Covid-19 oral de Merck et son partenaire Ridgeback Biotherapeutics vers la fin du mois de décembre 2021. Le Japon a donc versé près de 1,2 milliard de dollars à Merck pour l’achat de 1,6 million de traitements.
La pilule anti-Covid Lagevrio préviendrait la multiplication du coronavirus dans le corps. Le traitement est destiné aux personnes qui n’ont pas besoin d’oxygène supplémentaire et qui pourraient développer les formes graves du Covid-19.
La pillule élaborée par Merck aiderait à prévenir le risque d’hospitalisations et de décès des patients « à risque ».
Lundi 7 février, le Japon a décidé d’accélérer les importations de l’antiviral Molnupiravir. Dans un communiqué, la société Merck a déclaré qu’elle va fournir 800.000 doses de son médicament contre le Covid-19 au Japon d’ici mars. Au départ, le laboratoire devrait livrer 600.000 doses du traitement.
Recrudescence des cas de contamination
Cette décision d’accélérer les importations de l’antiviral de Merck a été prise en vue de faire face à une forte recrudescence des cas d’infection. En effet, il y a quelque semaine, le Japon a enregistré un record de contaminations quotidiennes.
La situation est liée à la propagation du variant Omicron, bien connu pour sa forte contagiosité. Depuis le 19 janvier, les restrictions se sont intensifiées.
Le traitement oral du laboratoire Merck a été conçu pour réduire le risque de formes graves et d’hospitalisations. Nombreux sont les pays qui ont décidé d’autoriser son utilisation après la publication des premières données qui ont prouvé l’efficacité du produit, mais en passant largement sous silence les effets secondaires du médicament, déjà connus.
Mais il faut aussi rappeler que la pilule antivirale Paxlovid de sa concurrente Pfizer a aussi obtenu une autorisation de mise sur le marché.
En 2021, les Etats-Unis ont déjà passé une commande de 10 millions de traitements pour un montant de 5,3 milliards de dollars. Début janvier 2022, Joe Biden a déclaré : « Nous avons déjà passé la plus importante commande au monde, et désormais je la double”, soit 20 millions de traitements.
Le gouvernement japonais a-t-il décidé d’être aussi corrompu que l’administration Biden? La recrudescence des cas Omicron ne signifie pas une augmentation du nombre de malades ni d’hospitalisations. Toute la crise du COVID, les gouvernements et les autorités sanitaires auront entretenu la confusion entre être porteur d’un virus et être malade.
Ce médoc est un puissant mutagène. Mal pris en population générale, il devient une usine à mutant.
Usine à mutation génétique du virus et … de l’humain, accessoirement.
Le molnupiravir (ou le pire-à-voir pour les intimes) est une vieille molécule abandonnée depuis 20 ans pour cause d’inefficacité thérapeutique sauf ses effets secondaires indésirables.
Cette annonce officielle japonaise avère d’une nouvelle corruption manifeste des décideurs politiques :
-“Pauvres Japonais ! ils vont continuer à souffrir pour rien, comme nous en somme”.
Étonnant que pfalzar-fion fasse tout le temps les mauvais choix… sauf que là où ils en sont, il est très difficile de croire à une coïncidence, car entre opacité sur des composants extrêmement dangereux dans leur thérapie génique expérimentale mortelle, sous couvert de “secret des affaires”, et maintenant, réutilisation d’une molécule fichée depuis plus de deux décennies pour cause de mutations sauvages, on ne peut que se dire qu’il y a comme du génocide dans l’air… dès la con-ception.