À l’ère du numérique, les informations se diffusent par milliers, qu’il s’agisse de vérité ou de fake news. Depuis le début du conflit en Ukraine, une guerre de l’intox est utilisée massivement. Les deux protagonistes se sont également investis dans un bras de fer numérique mêlant cyberattaques et propagandes à tout va.
Quand les 2 camps jouent sur les fausses informations et la manipulation de masse
Outre les affrontements sur place, les parties, dont principalement l’Ukraine, revendiquent des actes de cyberattaques qui, pour l’heure, ne semblent pas être vérifiables. En effet, rien ne mène à croire qu’une attaque majeure ait été orchestrée contre les critiques de l’Ukraine.
D’ailleurs, avant même que le pays ait été pris d’assaut par la Russie, l’inquiétude flottait déjà dans l’air et une stratégie de riposte via une offensive en ligne en cas d’invasion militaire semble déjà avoir été prévue.
En ce sens, les deux jours qui ont précédé le déploiement du corps militaire sur les terres de l’Ukraine, l’Union européenne avait déjà mis en place une équipe de surveillance et de réponse chargée de protéger les infrastructures techniques clés de l’Ukraine pour se prémunir des attaques cybernétiques que pourraient opérer d’autres nations.
La vigilance est également présente du côté des homologues français qui ont annoncé via l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) que « Les tensions internationales actuelles, notamment entre la Russie et l’Ukraine, peuvent parfois s’accompagner d’effets dans le cyberespace qui doivent être anticipés ».
Mais la réalité est toute autre, car rien n’indique jusqu’à présent que des cyberattaques ont lieu dans les infrastructures critiques ukrainiennes.
Une guerre de propagande
Il se déroule une guerre de propagande des plus intenses sur les différents réseaux sociaux. On ne s’étonne donc pas de découvrir une pléthore de fakenews qui sont d’autant plus alimentés par une batterie d’images.
Comme celle de la petite fille ukrainienne sur Twitter, pleurant la mort de sa mère dans ce contexte conflictuel. En effet, les internautes ont réussi à prouver que cette photo très médiatisée n’est, en fait, qu’une image tirée du film « the brest fortress » qui est sorti au cours de l’année 2010.
Autre fake news, largement partagée sur Facebook et Twitter, présenté comme une vidéo du conflit, arborant même la bannière « breaking News ». En légende, il a été indiqué qu’elle montre l’armée ukrainienne en train d’abattre un avion russe. Or, cette séquence n’a pas été tournée en Ukraine, elle provient du jeu vidéo Arma III. Selon le site bloomberg, la séquence a été visionnée plus de 110 000 personnes et partagée 25 000 fois, avant que Facebook ne la retire . Sur Twitter, un tweet le partageant a obtenu 11 000 likes et 2 000 retweets avant que Twitter ne le retire.
Du côté de la Russie, on opte pour des mesures draconiennes : une censure envers les médias indépendants. Les dirigeants exigent des médias qu’ils définissent simplement cette guerre que comme une « opération spéciale ».
Le gouvernement russe met également la pression sur le réseau social Facebook, le contraignant à stopper la modération des messages qui sont publiés par les médias publics russes.
Il semblerait que le pays ait compris qu’il ne suffira pas de gagner sur le terrain maiq qu’il y a une bataille de l’information dans ce contexte où l’opinion d’une grande masse de personnes est offerte à des manipulations de grande échelle.
La guerre et l’intox… On pourrait remonter à Sun Tzu pour documenter la recette. Puis échantillonner les différents ingrédients du mensonge en situation conflictuelle. On prendra Commentarii de Bello Gallico pour la structure sablée, jusqu’à Barbarossa et Overlord pour la crème supérieure et le caramel, enfin la dissuasion nucléaire comme cerise sur le gâteau…
Mais le plus compliqué quand on lit toutes ces histoires d’intox, c’est justement d’essayer de trouver une histoire militaire ou stratégique où il n’y en aurait pas eu, d’intox. Là, chapeau à celui qui m’en trouve une !
Puis je retourne à mes lubies éthologiques. J’observe le monde animal, qui lui aussi pratique l’intox par les couleurs, les hurlements, les odeurs, donc l’ADN… Il n’est qu’à observer le comportement de deux animaux sauvages, ou domestiques des chiens et chats, se rencontrant sur le territoire de l’un ou de l’autre. Cela commence toujours par de l’intox, de la comm’, des cris de bêtes, pour éviter justement d’en arriver à la confrontation physique qui laisserait l’un ou l’autre sur la paille (sur l’herbe à la merci des vautours). Et puis on va finalement se contourner en essayant de préserver les apparences de son ego de vainqueur du pugilat à distance… En général, comme dans une lutte entre deux mâles dominants qui veulent obtenir la chefferie de la harde, loups ou cerfs, etc. on constate que les humains au cerveau limbique atrophié, croit-on, procèdent peu différemment.
Voilà, si l’on se réfère donc aux actuelles vociférations bestiales de Poutine et de Biden, et celles de leurs hardes respectives, je vous le dis, rien de grave, rien de grave… Ça va s’tasser bientôt ! L’un va marquer son territoire de manière très évidente, barbelés et jets d’urine y compris, et l’autre n’y reviendra plus. Point barre. Deux mâles dominants veulent juste montrer que l’un et l’autre ont le plus gros potentiel reproducteur. Au pifomètre, je parierai pas sur celui du 1600 et de ses acolytes gérontocrates… Quand au dépravé sexuel du 55, là, l’aurait déjà fallu qu’il se fabrique un avenir par la génétique pour être crédible à son poste de Père de la Nation. C’est mon point de vue.
Ma réflexion est un peu bâtarde, mais j’en reste à mon basique Jean Bodin : « Il n’est de richesse que d’homme ». En gros quel homme peut-il préparer l’avenir de son pays sans se projeter et se prolonger dans ses propres générations futures ? De ce côté, j’ai fait mon taf. Si tous les Français avaient fait de même, il n’y aurait plus de problèmes économique et d’immigration, et tout ce qui en découle. Il faut évidemment renouer avec la politique nataliste, « planiste » et gaullienne, de Michel Debré, urgemment. Sinon le Grand Remplacement et ses avanies…
Z lui l’a compris.
Pas les autres, nihilistes et pacte-de-marrakechistes. Qui puis-je ?
La politique, c’est le nombre.
Sur le plan de la natalité, la meilleure « infox » et la principale stratégie de comm’ commence par la démographie, un rouleau compresseur qui fait depuis toujours fi des rodomontades artificielles de l’intox.
Vous avez remarqué, on n’attaque pas la Chine et ses 1,402 milliards d’habitants… Encore moins l’Inde et le Pakistan, ce dernier réservoir infini de djihadistes.
De mon côté, j’ai également fait mon taf. Mais comme beaucoup de Français ne l’ont pas fait, alors on se tape des problèmes économiques. Des slogans comme ceux de “Philips” : “Faisons toujours mieux”, ou “C’est nettement mieux” sont inapplicables depuis que l’Education Nationale ne fait plus son boulot. Quant à l’immigration, seuls les asiatiques sont assimilables. Je le sais, parce que je suis “jaune” et que j’ai connu la moquerie du “sale chinois vert”. Et si la France ne vote pas bien bientôt , alors le prochain coups des américains après l’Ukraine otaneste sera celui d’être le pays du Camps des Saints.