La plupart des personnes atteintes du Covid-19 ont des symptômes légers. Il existe même des cas asymptomatiques. Mais une étude précise les comorbidités qui aggravent le Covid. Selon une étude du Journal of Allergy and Clinical Immunology, certaines comorbidités influencent le degré de gravité des symptômes du Covid-19. Le Covid peut atteindre tout le monde et sa forme sévère touche pour la plupart les personnes âgées et celles présentant certaines comorbidités.
On entend par comorbidité la présence de maladies et divers troubles aigus ou chroniques s’additionnant à la maladie initiale (obésité, diabète, l’hypertension, maladie cardiovasculaire…). Selon les autorités sanitaires, les patients présentant ces pathologies sont reconnus comme vulnérables au Covid-19. En effet, souffrir d’une comorbidité semble accroître fortement le risque de complications graves et ainsi d’hospitalisation ou de décès. Depuis le début de la campagne de vaccination, les personnes présentant ces « risques de comorbidité » sont invitées à se faire vacciner, même si jusqu’à présent, on ne dispose pas assez de données sur leur efficacité, mais aussi leurs effets secondaires sur ces « personnes vulnérables ».
Comorbidités et réponse au Covid-19
Une étude du Journal of Allergy and Clinical Immunology a révélé l’existence d’une corrélation entre certaines comorbidités et la réponse immunitaire de l’organisme face aux attaques du SRAS-CoV-2, le virus responsable du Covid-19.
Les chercheurs ont étudié les données sanguines de plusieurs patients composés de 60% d’hommes et de 40 % de femmes. Ils ont découvert que les personnes âgées de 65 ans ou plus et celles qui présentaient des comorbidités ont développé la forme sévère du Covid-19. L’étude a révélé que 52,6% des patients présentaient plus d’un type de comorbidité.
Parmi les comorbidités identifiées par les chercheurs, il y a l’obésité, l’hypertension, le diabète ainsi que les maladies cardiovasculaires et respiratoires. Les maladies rénales chroniques, le cancer et certains troubles immunitaires influencent aussi la gravité des symptômes.
Pour une meilleure prise en charge des malades du Covid-19
Actuellement, de nouvelles thérapies pour traiter le Covid-19 sont approuvées dans le monde entier. Pourtant, connaître l’influence des comorbidités sur la réponse immunitaire face au Covid-19 pourrait aider les cliniciens à proposer des traitements plus efficaces aux patients considérés comme vulnérables.
L’étude a mis en évidence le lien entre le Covid-19 sévère et les comorbidités spécifiques. Bien entendu, des recherches supplémentaires sont encore nécessaires puisque l’étude actuelle a été menée sur un nombre réduit de personnes infectées présentant des comorbidités rares. Par ailleurs, d’autres facteurs comme le genre n’ont pas été pris en compte dans cette étude.
Les comorbidités pour le Covid sont connues depuis longtemps. Et elles jouent aussi pour les « vaccins ».
Injecter à des personnes souffrant de maladies cardiovasculaires un produit qui modifie le sang et provoque des thromboses et des myocardites chez des personnes saines est particulièrement judicieux.
De même pour les personnes souffrant d’atteintes rénales: des personnes injectées en parfaite santé voient leurs reins se détruire sans que les médecins trouvent (cherchent?) une explication.
Quant aux cancers, impossible de trouver le nombre de nouveaux cas en France en 2021 (et encore moins leur statut vaccinal), contrairement aux Etats-Unis:
https://twitter.com/martinewonner/status/1520846896004227077/photo/1
En tout cas, on observe des nouveaux cancers ou des reprises après rémission, fulgurants…
Que dire des médecins qui ne veulent pas voir?…
https://rumble.com/v12y1pz-dr-richard-urso-explosion-des-cancers-et-des-maladies-late.html
La censure de la bande du Davos a rendu le corps médical esclave du dogme vaxxinal monopolistique. Sur les agissements du corps médical à d’autres époques sombres de l’histoire humaine je renvoie à l’excellent entretien avec Monsieur Gregor Puppinck posté par Monsieur Verhaeghe sur odysee bien sûr.
https://odysee.com/@lecourrierdesstrateges:9/Puppinck:5
Dans quelle mesure cette étude a-t-elle tenu compte de la prise en charge très (trop) tardive des personnes présentant des comorbidités (prenez un doliprane..)?