Depuis le 18 juin, les États-Unis ont débuté leur campagne de vaccination contre le Covid-19 des enfants de moins de 5 ans. Des millions de vaccins ont déjà été distribués. Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), qui avait déclaré à l’époque : « Nous savons que des millions de parents (...) veulent faire vacciner leurs jeunes enfants, et avec la décision d'aujourd'hui, ils le peuvent », il semblerait que la vaccination des tout petits rencontre peu d’engouement. Le CDC américain a indiqué que certaines familles ne sont pas prêtes à vacciner leurs enfants. Le CDC mise sur les prestataires de soins primaires pour les aider à convaincre ce groupe de parents.
Aux États-Unis, environ 442 enfants âgés de moins de 4 ans seraient décédés suite à une infection au Covid-19. Depuis le début de la vague Omicron, selon les données du CDC, l’agence a enregistré une hausse du taux d’hospitalisation des enfants de moins de 5 ans. Ils seraient au nombre de 45.000. Sans que l’on sache très bien comment le CDC arrive à ce chiffre. Mais l’administration Biden souhaite désormais passer à la vaccination de tous les enfants. Toutefois, avant de procéder à une telle démarche, il lui a été nécessaire d’obtenir l’avis favorable de la FDA et du CDC, une simple formalité. Pourtant, le sujet de la vaccination des enfants divise. Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui souhaite vacciner 70% de la population de chaque pays du monde d’ici la fin 2022, les bénéfices d’une vaccination chez les petits ne sont pas encore prouvés. Par ailleurs, outre la réticence des parents, nous avons aussi évoqué dans nos colonnes, les cas de cancers chez les enfants suite à l’utilisation de séquences d’ARN. Malheureusement, la folie vaccinale va contraindre près de 20 millions d’enfants américains âgés de moins de cinq ans à recevoir une première injection de vaccin anti-covid.
Le CDC mise sur la collaboration des prestataires de soins primaires
Le CDC a indiqué à l’agence Pulse qu’un peu plus de 5 millions de doses avaient été distribuées dans le pays à la date du vendredi 1er juillet. Le CDC a déclaré que depuis l’autorisation d’administration des vaccins contre le covid-19 pour les jeunes enfants aux États-Unis, les responsables de santé sont immédiatement passés à l’action.
Si les responsables de santé s’attendaient à enregistrer un pic du nombre d’enfants vaccinés, une nouvelle difficulté se profile, chez les parents, la vaccination de leurs enfants ne fait pas l’unanimité.
Selon le CDC, il existe exactement trois groupes de familles. Le premier groupe réunit les parents qui ont toujours voulu vacciner leurs enfants. Le second groupe regroupe les familles qui s’opposent catégoriquement à la vaccination des tout petits.
Enfin, le troisième groupe réunit les parents qui ont besoin du temps et de conviction. Pour convaincre ces derniers, les CDC comptent sur l’aide des prestataires de soins qui font partie du programme « Vaccins pour les enfants » (VFC). Ce sont des praticiens privés et publics qui se sont engagés à administrer gratuitement les vaccins aux petits dans leur cabinet de soins primaires.
Les prestataires de soins primaires plus fiables que le CDC?
La directrice du CDC, Rochelle Walensky, estime que les prestataires VFC peuvent gagner la confiance de ces parents qui hésitent à vacciner à leurs enfants. Elle a annoncé dans un courriel partagé par l’agence Pulse que les familles considèrent ces praticiens comme une source d’information fiable.
Selon Rochelle Walensky, leur recommandation aura un impact majeur sur le succès de cette campagne de vaccination pour les enfants de moins de 5 ans. En effet, Rochelle Walensky a déclaré qu’elle pourrait « accroître la confiance dans les vaccins Covid-19 ».
Selon le directeur de l’Agence américaine pour le développement international, Atul Gawande, la pandémie n’est pas encore terminée. Le Covid-19 est « une maladie récurrente avec laquelle nous allons vivre, au moins pour les prochaines années à venir ». Il est important donc de renforcer les systèmes de santé et d’avoir des outils de base pour mettre en place une réponse adéquate à la pandémie. De plus, le risque d’une nouvelle vague existe. On croirait entendre le cofondateur de Microsoft, Bill Gates, qui avait annoncé que la pandémie de coronavirus est encore présente et qu’elle est loin d’être terminée. Il a réitéré que nous n’avons toujours pas vu le pire du virus et que la fabrication de sérum bloquant le virus avec une meilleure durabilité était urgente.
Une enquête récente a révélé que 73% des prestataires de soins primaires sont prêts à répondre à l’appel du CDC. Ils ont l’intention de s’inscrire pour distribuer les vaccins contre le Covid-19 aux enfants de moins de 5 ans. Le CDC espère pouvoir compter sur un plus grand nombre de praticiens. A noter que près de 70 % des enfants âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés aux États-Unis, alors que la campagne avait déjà débuté en novembre 2021 .
Il y a beaucoup de gens qui vivent (et continueront à vivre) dans le passé, et ne comprennent pas que dorénavant le gouvernement est leur ennemi.
Même dans le passé, certains gouvernements ont été les ennemis de leur peuple. Mais quand on vit dans l’utopie socialiste, on a du mal à croire que l’Etat peut être un ennemi.
Le gouvernement a toujours été leur ennemi. Mais c’est seulement depuis deux ans que cela saute aux yeux. Compte-tenu du formatage des esprits qui commence dès l’école puisque c’est le gouvernement qui la contrôle, expliquer à un adulte que le seul objectif des gouvernements c’est asservir, asservir et encore asservir, cela revient à raconter à un enfant que le Père Noël est méchant.
LEs praticiens sont surtout des « collabos » du gouvernement. Cela en dit long sur la soumission du monde médical à l’Etat. Ces gens ne savent même plus ce qu’est la médecine. Ils devraient être jetés en prison.
Combien seront ils payé pour faire ce sale boulot????
Les autorités sanitaires américaines se servent des praticiens de terrain pour convaincre les parents du bien-fondé de la vaccination anti-covid des moins de 5 ans. Les enfants ne sont pas des rats de laboratoire, c’était l’ultime cible à atteindre et tous les moyens sont bons. Ces injections, et non pas vaccins, vont détruire l’immunité naturelle des jeunes enfants. Le gouvernement américain est criminel, les médecins qui promeuvent cette « vaccination » inutile et nocive sont leurs complices.
Arrêtez de parler systématiquement de « vaccin ». À chaque fois que vous écrivez ou prononcez ce mot, vous participez involontairement à cette farce criminelle.
Il s’agit d’une injection. Une injection dont on ne connaît pas vraiment la nature. Mais on sait tous que ce n’est pas un vaccin.
Alors arrêtons de jouer leur jeux.
Concernant le titre :
Soit on affime un fait et l’on dit et écrit : »Comment le CDC compte vacciner les enfants », donc sans point d’interrogation.
Soit on s’interroge et l’on dit et écrit : »Comment le CDC compte-t-il vacciner les enfants ? »
Sur ce site au moins on pourrait s’attendre à un respect de la plus belle langue du monde, notre héritage, la langue par excellence de la pensée et de la poésie et inégalée dans le monde. Grâce à son extraordinaire souplesse, nous pouvons exprimer avec subtilité les moindres nuances de notre esprit.
Elle était absente des « guidestones » maléfiques qui viennent d’être détruites parce qu’elle fait partie des cibles de ceux qui veulent détruire la pensée humaine qui est le fondement de la liberté.
Elle n’est pas toujours facile à maîtriser mais est un outil incomparable. Alors, préservons ce précieux trésor. Sur ce site de qualité, restons vigilant car sur tant d’autres les verrues de l’analphabétisme pullulent.
Comme le disait le Pr Even , « le français est une langue, l’anglais est un outil. »
« Augmenter la confiance »
Tout est dit: c’est une question de foi, pas de conviction rationnelle.
Et le CDC cherche à agir sur les parents, non à vérifier que les injections sont vraiment sans danger
Pourvu qu’ils aient la guerre civile, l’inflation et les incendies de forêts avec des tornades de grêles sur leurs cultures. Je rajouterai un prix de pétrole exponentiellement impopulaire et toutes leurs centrales électriques en défaillances grâce à des stutnet chinois, russes et coréens. Ce qui permettra de ne pas vacciner les enfants, car leurs parents auront d’autres chats à fouetter. Et si cela ne suffit pas, une bonne « panne » de toutes les filières de froid, couronnera leurs punitions à s’attaquer aux plus petits d’entre eux qui ne méritaient pas cette vaccination inappropriée pour du « pognon ».