L’Agence européenne des médicaments (EMA) et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) estiment qu’il faut envisager l’injection une seconde dose de rappel de vaccin à ARNm - autrement dit une quatrième dose - aux personnes âgées de 60 à 79 ans et celles qui sont susceptibles de développer la forme grave du Covid-19.
Alors qu’une étude israélienne avait révélé que l’administration d’une quatrième dose ne susciterait pas un niveau immunitaire plus élevé, les vaccins ARN messager atteignent un plafond en termes de réponse immunitaire avec une 3e dose. Face à l’essor du variant Omicron dans l’Union européenne, les campagnes de rappel de vaccin contre le Covid-19 devraient reprendre en automne. Le recours à la quatrième dose ou seconde dose de rappel de vaccin ARNm (Comirnaty de Pfizer et Spikevax de Moderna) est envisagé. L’ECDC et l’EMA ont émis un avis assez controversé sur le sujet. Pour rappel, au mois d’avril, les deux agences affirmaient que les preuves sur la nécessité d’une quatrième dose chez les individus de moins de 80 ans étaient insuffisantes.
Une recommandation pour les plus de 60 ans et les vulnérables
En avril 2022, dans un communiqué, l’EMA et l’ECDC ont annoncé qu’avec les données disponibles, il était trop tôt pour soumettre la population à une quatrième dose. Il n’y avait aucune preuve claire que la protection vaccinale contre la maladie sévère diminue de manière substantielle chez les adultes de 60 à 79 ans.
Face à une recrudescence des cas d’infection avec les sous-variants d’Omicron BA.4 et BA.5, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l’Agence européenne des médicaments (EMA) ont publié, lundi 11 juillet, une mise à jour de leurs recommandations relatives à l’administration d’une dose supplémentaire de rappel vaccinal contre le SARS-CoV-2 pour les plus de 60 ans et les personnes vulnérables.
Dans le communiqué, le commissaire européen à la santé et à la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides convie les Etats membres « à déployer immédiatement le deuxième, rappel pour toutes les personnes âgées de plus de 60 ans ainsi que pour toutes les personnes vulnérables, et j’invite toutes les personnes éligibles à se présenter et à se faire vacciner. » Cette seconde injection de rappel pourra être administrée quatre mois après la dernière injection.
Stella Kyriakides a déclaré que les vaccins contre le Covid-19 disponibles actuellement sont efficaces et fiables…un discours bien loin de la réalité. Nous avons évoqué le fait que le nouveau variant Omicron BA.5 circulait plus facilement chez les triples vaccinés. De même, selon les données fournies par de nouvelles études, les sous-variants BA.4 et BA.5 échappent aux anticorps produits par la vaccination et une infection antérieure. Les réinfections restent possibles.
Toutefois, selon l’ECDC et l’EMA, il n’y a « à ce stade pas de preuve claire justifiant de donner une deuxième dose de rappel aux moins de 60 ans n’ayant pas de risque plus élevé de développer une forme grave du Covid-19 ».
Recherche de sérum adapté
Le directeur exécutif de l’EMA, Emer Cooke a déclaré que l’agence œuvre actuellement à identifier des vaccins actualisés, ayant pour fonction de contrer les nouveaux variants. Avec l’ECDC, elle évalue l’efficacité et la sécurité de ces produits. À ce sujet, Moderna avait déjà déclaré fin juin via un simple communiqué, que son candidat vaccin bivalent avait provoqué une réponse immunitaire « puissante » contre les sous-lignages BA.4 et BA.5 d’Omicron. Malgré les effets secondaires connus des injections anti-Covid Moderna, la société se prépare déjà à une production rapide de son vaccin actualisé à compter du mois d’août.
Par ailleurs, selon le communiqué, actuellement l’UE collabore étroitement avec l’OMS (Organisation mondiale de la santé) pour mettre au point les politiques d’administration de ces nouveaux vaccins.
Mais en attendant, les deux agences recommandent l’utilisation des injections anti-Covid déjà disponibles comme doses de rappel pendant l’automne et l’hiver, et ce, malgré son inefficacité et dont la dangerosité a été démontrée à nombreuses reprises.
C’est peut-être leur moyen de régler le problème des retraites ?
ah ! enfin quelqu’un qui a tout compris :
les vieux vaccinés qui meurent 3/4/5/10/15 jours après l’injection mortelle, quoi de plus naturelle qu’un vieux qui meurt : le MEURTRE passe comme une lettre à la poste = GAIN DES PRESTATIONS DE RETRAITE
c’est tout à fait ça
ne pas oublier, en 2020, tous nos vieux qui ont été euthanasiés au RIVOTRIL dans les HEPAD
MACRON et son GVT de chiotte ont du sang sur les mains.
GRAND MERCI SEIGNEUR, bientôt tous ces meurtriers passeront devant ton EFFROYBALE JUGEMENT, nos vieux seront vengés.
Sans oublier tous ces “médecins véreux” qui ont participé à la “dépopulation” quoiqu’il en coute éthiquement. Et certains se sont faits des “couilles” en or pour quelques séances de vaccinations obligatoires pour le gouvernement.
Ils sont fatigants…
Pendant longtemps il leur était possible de soutenir que le lien de cause à effet entre la surmortalité et le vaccin n’était pas démontré. Plus d’un an après, nous avons maintenant des preuves, étayées, incontestables, basés sur les chiffres officiels… Et ils continuent…
En fait je ne devrais pas me lamenter car je suis convaincu dès le début que ce virus et ce vaccin ont été conçus en laboratoire dans le but de renforcer la soumission des peuples aux gouvernements, de réduire nos libertés et éventuellement d’accroître la mortalité des vaccinés. Leur insistance n’est donc pas une surprise.
Pour l’abominable complotiste que je suis, ce qui importe est la réaction de la population. Déjà 7 millions de jeunes adultes français (tranche 18-50 ans) ont refusé la troisième dose. Il sera très intéressant de voir le comportement des gens face à la quatrième dose.
Tout à fait de votre avis…. Je n’imagine pas qu’il y aura beaucoup de volontaires maintenant que l’on sait que ces injections sont au moins inefficaces voire dangereuses
L'”invention” des virus et vaccins pour gérer une population, ça n’est pas nouveau : voir l’intéressant article de J. B. Fressoz : “Le vaccin et ses simulacres : instaurer un être pour gérer une population, 1800-1865” : https://doi.org/10.4000/traces.5368
Il semble que la majorité des médecins (enfin) n’envisage pas de conseiller encore une dose à leurs patients.
https://www.legeneraliste.fr/services/debats-sondages/proposerez-vous-le-2e-rappel-de-vaccin-anti-covid-vos-patients-eligibles-des-cet-ete
Normal, certains sont encore vivants.
C’est qu’ils résistent,les salauds…..
Est ce que l’injection est obligatoire et automatique pour ceux qui entrent en foyer ?
Est ce qu’on est injecté d’office lorsqu’on se fait opérer ? Comment vérifier qu’on n’a pas été injecté en douce ?
Que se passerait-il si je demandais à la personne qui tient la seringue si elle prend personnellement la responsabilité des conséquences de son acte ?
Enfin,on est dans la merde jusqu’au cou, et les moyens de résistance qui s’appuient sur la loi semblent peu efficaces.
Fait-il envisager des moyens vicieux et non orthodoxes de défendre la liberté qui nous reste ?
Le feu, rien que le feu. Ou la prière à la Mère de Dieu, pour que les paroles de l’Ecclésiaste s’accomplissent. “Malheur au Pays dont le prince est un enfant”.
Je préfère les paroles de Marie disant : Certaines Nations vont disparaitre. Les USA seront ils la première de celles-ci ?. Leurs bio terrorismes emporteront sans doute les survivants de la colère divine.
Bonne information, concise, bien retranscrite, et + pour qui sait lire entre les lignes en connaissance du sujet, merci. Voir mon article dans France Soir du 12 juillet (les nouveaux vaccins de cet automne : une folle course en avant).
– Bonjour Docteur
– Bonjour Monsieur Duchemin
Alors toujours bon pied bon œil ?
– Oui, Docteur.
– Alors, vous avez droit à la quatrième dose…