Le mythe d’une éventuelle vague en automne causé par les variants BA.4 et BA.5, est déjà lancé aux États-Unis et en Europe. Les autorités sanitaires ont déjà procédé à la campagne de rappel de ces « vaccins bivalents » adaptés au variant Omicron. Mais une étude indépendante a révélé que les vaccins de rappel bivalents de Moderna et Pfizer ne sont pas meilleurs que les anciens boosters. Ils ne permettent pas d’augmenter le niveau d’anticorps neutralisants contre les variants dominants. Cette étude démontre une nouvelle fois l’inefficacité des injections Covid actuelles, la question est de savoir si le passage à une nouvelle version du vaccin était vraiment nécessaire.
Depuis le début de la crise sanitaire, les gouvernements des pays occidentaux se sont empressés de valider les essais cliniques présentés par Pfizer et Moderna, les deux premiers laboratoires à avoir présenté leur essai randomisé dans un temps record. Encensés par les médias subventionnés, ces géants pharmaceutiques auraient pu présenter n’importe quel résultat, l’essentiel était de pouvoir inoculer ces produits expérimentaux le plus rapidement possible auprès d’une population apeurée voulant sortir des confinements. Pour protéger la population contre le risque probable de vagues d’infections en automne et en hiver, les autorités sanitaires ont approuvé les deux vaccins actualisés des géants Pfizer et Moderna. Mais une étude récente menée par des chercheurs de l’Université de Columbia et de l’Université du Michigan a montré que les injections de rappel bivalentes de Moderna et Pfizer n’ont pas réussi à augmenter les niveaux de protéines protectrices, appelées anticorps neutralisants, contre les souches Omicron dominantes. “Jusqu’à présent, nous ne voyons pas l’avantage des vaccins bivalents par rapport aux anciens”, a déclaré l’auteur principal de l’étude, le virologue David Ho. En somme, les vaccins actuels ne protègent pas des sous-variants Omicron.
Focus sur les résultats de l’étude
Une première étude indépendante concernant l’efficacité des boosters bivalents Pfizer et Moderna a été publiée sur le serveur de préimpression bioRxiv.org. Elle a été menée sur un petit groupe de chercheurs de l’université de Columbia et de l’Université du Michigan.
Les experts ont comparé les niveaux d’anticorps neutralisants dans les échantillons de sang de 21 personnes ayant reçu un rappel bivalent comme quatrième ose et de 19 personnes ayant reçu quatre doses de vaccins à base de la souche originale.
Trois à cinq semaines après la dernière injection visant les variants BA.4 et BA.5, les chercheurs ont découvert que les niveaux d’anticorps étaient similaires dans les deux échantillons.
Pfizer aurait-il menti sur ses données ?
Les résultats de cette étude contrastent avec les données mentionnées dans le communiqué de presse publié le 13 octobre par Pfizer et BioNTech sur l’efficacité de la nouvelle version de Cominarty. Selon l’alliance, ce vaccin actualisé garantirait une meilleure protection contre les variants du SARS-CoV-2, notamment Omicron.
Or, l’auteur principal de l’étude, le virologue David Ho de l’université Columbia, a déclaré que les vaccins actualisés ne présentaient pas d’avantage spécifique. Il estime qu’une seconde injection avec un rappel bivalent serait nécessaire.
Ho a ajouté que les « résultats médiocres » des vaccins actualisés sont liés à un phénomène appelé imprégnation. Il se traduit par le fait que le système immunitaire se souvient de la première version du virus. Après une mutation, la réponse à un vaccin, même s’il cible des souches plus récentes, peut encore être orientée vers la lutte contre l’agent pathogène d’origine.
Pour rappel, le Dr. John Moore, immunologiste à la Weill Cornell Medicine, avait déjà déclaré que les nouveaux vaccins seraient “peu ou pas du tout meilleurs” que les formulations précédentes.
Malgré ces études et ces constats, les autorités sanitaires ferment les yeux, les commandes de vaccin ont été passées et continuent de l’être, la vaccination de masse devrait connaître un regain dans les semaines à venir.
Si je comprends bien, l'”imprégnation” polarise le système immunitaire des “vaxxinés” sur le virus COVID cible de première génération et diminue en même temps sa capacité d’adaptation à de nouveaux agents pathogènes, comme Omicron et autres maladies.
En attendant, il est tout à fait lucratif pour des laboratoires de continuer à chercher le vaccin miracle.
Cela rappelle les tombereaux d’argent public captés par Fauci et le NIH, moyennant la promesse f’un vaccin contre le SIDA…
Du point de vue scientifique, 26 chercheurs de 16 pays ont cherché, et trouvé, les ingrédient “non divulgués” des produits géniques inoculés à des milliards de personnes. Et leurs résultats sont convergents.
https://www.guyboulianne.info/2022/10/19/dr-david-a-hughes-demande-quy-a-t-il-dans-les-soi-disant-vaccins-covid-19-1ere-partie-preuve-dun-crime-mondial-contre-lhumanite/
(Lien vers le document à la fin de l’article)
C’est quoi ton problème avec ça ? Il n’y a pas de parti pris dans cet article. Je ne vois pas en quoi les conflits d’intérêt peuvent changer quelque chose au sens de cet article qui ne fait que commenter
Concernant l’article : s’appuyer sur des études avec si peu de participants ne permettra pas de disqualifier les nouvelles thérapies géniques
Il faudra injecter la moitié de la planète avant que l’on reconnaisse dans 1 ou 2 ans que cela n’a pas fonctionné