Si le Covid-19 peut atteindre tout le monde, ses formes sévères sont plus courantes chez les personnes âgées et celles présentant des comorbidités. Une étude ZOE Health Study du Royaume-Uni s’est penchée sur le degré de gravité des symptômes du Covid-19. Les chercheurs du King's College London, du Massachusetts General Hospital, de Harvard et de l'université de Stanford ont décidé de lancer une recherche en vue d’identifier le lien entre la gravité des symptômes du Covid-19 et le statut vaccinal du patient. Nous la présentons telle quelle, même si nos lecteurs seront surpris de constater qu'il s'agit d'une étude qui pousse implicitement à la vaccination - à propos de laquelle nous avons relayé bien des études critiques. Mais il est nécessaire de connaître tout ce qui paraît sur le sujet.
La plupart des personnes atteintes du Covid-19 ont des symptômes légers. Il existe même des cas asymptomatiques. Outre les comorbidités qui sont des facteurs de forme sévères, les infections Covid s’accompagnent parfois de quelques symptômes potentiels différents, allant d’une fatigue légère à des symptômes étranges comme la “langue de Covid”. Dans une étude ZOE Health, réalisée par l’entreprise des sciences de la santé ZOE et les chercheurs du King’s College London, du Massachusetts General Hospital, de Harvard et de l’université de Stanford, les experts affirment que la fréquence et la gravité des symptômes du Covid-19 dépendent principalement du variant en circulation et du statut vaccinal du patient.
Différence au niveau du type et du nombre de symptômes
Les chercheurs ont utilisé l’application ZOE Covid Study lors de ce projet. L’application réunit les symptômes du virus en fonction des données quotidiennes saisies par ses 4 millions d’utilisateurs depuis 2020. On aimerait, à vrai dire, une évaluation plus critique de la représentativité de ces données.
Les chercheurs ont établi une liste mise à jour des symptômes les plus fréquents, classés en trois catégories à savoir : le groupe des personnes ayant terminé leur primo-vaccination, le groupe des personnes ayant reçu une seule injection d’un vaccin à deux doses ainsi que le groupe des personnes non vaccinées.
Les chercheurs ont identifié 4 des 5 symptômes les plus signalés, dont le mal de gorge, le nez qui coule, la toux persistante et les maux de tête. Ils toucheraient les trois groupes d’individus, mais leur prévalence variait.
Le cinquième symptôme signalé fréquemment est la fièvre. Il concernerait uniquement les personnes non vaccinées. Une étude menée par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) en 2021 pense pouvoir confirmer cela.
En effet, l’agence a constaté que les personnes ayant reçu une ou deux doses du vaccin contre le Covid-19 avaient moins de risque de présenter des symptômes plus gênants comme la fièvre que les individus non vaccinés.
Parmi les personnes ayant contracté le variant Omicron, la fièvre était le symptôme le plus souvent déclaré chez les non-vaccinés.
L’étude affirme également que les participants vaccinés passaient en moyenne deux à six jours de moins au lit que les personnes non vaccinées.
Selon cette étude, le nombre de symptômes qui peuvent se présenter dépend aussi du statut vaccinal. Les personnes ayant terminé leur série de primo-vaccination ou qui ont reçu une dose de vaccin présentaient moins de symptômes sur une « période de temps plus courte » que les personnes non vaccinées.
Les symptômes traditionnels du Covid plus rares
L’étude ZOE affirme que dans les trois groupes, les symptômes traditionnels du coronavirus comme la perte de l’odorat et l’essoufflement apparaissaient rarement. Les chercheurs estiment que l’Omicron est à l’origine de ce changement majeur.
Une étude a en effet montré que ce nouveau variant du SARS-CoV-2 était moins susceptible de générer ce genre de symptômes.
Notons que l’étude ZOE n’a pas pris en compte le variant à l’origine des infections des patients ni du fait que l’utilisateur n’ait reçu ou non des doses de rappel, ni la gravité des symptômes ou encore les informations démographiques.
L’ajout des données concernant les doses de rappel pourrait modifier les résultats de l’étude. Les chercheurs ont constaté que la protection offerte par le vaccin s’estompe avec le temps. Selon l’étude, les personnes ayant reçu des doses de rappel pourraient bénéficier d’une meilleure protection, grâce au rappel bivalent qui protège contre les variants actuels.
Alors que l’étude ZOE COVID, représente un système complet de surveillance des symptômes de la Covid-19, on pourrait reprocher à cette étude de ne pas révéler les effets indésirables à court, moyen et long terme des injections Covid, près de deux ans après le début de la campagne vaccinale. Les systèmes de recherche et les médias participent de plus en plus à cacher l’information et à répandre ce que l’on peut désormais nommer une propagande officielle sur les bénéfices de la vaccination anti-Covid.
Pourtant, les « vaccins » anti-covid n’ont fait l’objet d’aucune réelle étude de pharmacovigilance dans la durée et les essais cliniques ne permettent pas de savoir si les adjuvants utilisés sont toxiques. Cependant, les autorités sanitaires mondiales ont toujours présenté ces « vaccins » comme le meilleur moyen de prévention disponible contre la forme grave du Covid-19.
Il est également important de signaler les effets néfastes de ces rappels répétés, ils pourraient affaiblir le système immunitaire. Nous avions aussi évoqué dans un précédent article que les vaccins actualisés ne présentaient pas d’avantage spécifique par rapport aux anciens vaccins anti Covid, d’après le célèbre virologue David Ho de l’université Columbia. En somme, les vaccins actuels ne protègent pas des sous-variants Omicron.
Comment est-il démontré (autopsie ou autre ?) qu’une personne déclarée Covid sans aucune comorbidité identifiée, est vraiment morte d’un (lequel ?) des variants du Sars Cov2 ?
Les symptômes retenus sont-ils les marqueurs exclusifs des variants de ce virus aux origines toujours pas claires ?
Il ne faut pas laisser les mots (avec leur acception qui peut aller de pertinente à grégaire) penser pour nous.
Considérez l’histoire d’une invention inventée. Laissez-la prospérer, au besoin répandez-la aux moyens des radios/TVs. Vous constaterez bien vite qu’elle a suscité une littérature abondante, des batailles d’idées, des recherches nombreuses et très appropriées générant les polémiques consécutives conséquentes.
Qu’est-ce qui différencie le co-vide de la grippe saisonnière dans ses symptômes ? Je n’ai jamais vu un article traitant de ce sujet.
Pourtant le vaccin de la grippe saisonnière gratuit que la Sécu m’avait destiné en septembre 2019 par document écrit personnalisé (et conservé) n’ai jamais parvenu à ma pharmacie…
Quand on sait que ce covid peut être traité avec des médicaments simples et peu couteux, on comprend que toute cette mascarade du covid est une opération préméditée et qu’elle porte atteinte aux peuples. une étude a déterminé que la prise de vitamine D permettait de réduire de 80 % le risque de développer les symptomes du covid 19. Et même une fois atteint permet de diminuer la gravité de la maladie. C’est une révélation du conseil scientifique indépendant numero 27 du jeudi 14 octobre 2021 seconde partie de la présentation avec Jean Marc Sabatier directeur de recherches au CNRS entre autres. Si l’on savait celà en octobre 2021 pourquoi n’a t’on pas traité les gens avec ce produit simple et peu couteux ?. Bien mieux l’état et les autorités de santé ont décrété que la prise de vitamine D pouvait se révéler dangereuse !!!!!!!!. Celà fait des années qu’on en donne aux gens et tout à coup celà devient un produit dangereux du jour au lendemain !!!!!. L’hydroxycloroquine et l’ivermectine ont été traitées de la même façon. On comprend que tout a été fait pour ne pas soigner les gens et les pousser vers la vaccination. Or quand on voit les effets secondaires aujourd’hui de ces “vaccins” on comprends qu’il s’agit d’une volonté politique et sanitaire au niveau mondial de dépeuplement.
Lien vers un article qui devrait vous intéresser :
https://www.mondialisation.ca/les-origines-sombres-de-la-grande-reinitialisation-de-davos/5672288
Il reste très ennuyeux que nos principaux contre-informateurs étaient admiratifs de Pasteur et donc vaccinophiles au sens “ancien” du mot vaccin.
Enfin Perronne et Wonner à Strasbourg viennent d’avouer qu’ils commencent à avoir des doutes
Depuis des décennies des médecins , chercheurs, statisticiens et autres ont contesté solidement la religion pasteurienne dont le diable est le microbe ou le virus (au choix) .
Béchamp déjà ….
Hélas comme écrivait dit Georget en page 12 de sa préface de « Vaccinations. Les vérités indésirables ; S’informer, Choisir , Assumer » (25 euros) : « La plupart des médecins ignorent tout ce qui va suivre concernant les dangers spécifiques des vaccinations »
Signé : un anti-vax depuis le printemps 1972
En complément
https://reseauinternational.net/pasteur-versus-bechamp-la-crise-du-coronavirus-relance-une-controverse-vieille-de-150-ans/
Et cette conférence
https://www.youtube.com/watch?v=nSpbQwRnx6k
La vérité est le fruit du débat…
D’après le texte, Il y a une différence flagrante entre les non vaccinés et les vaccinés via un symptôme non négligeable : les non vaccinés font de la fièvre. Les vaccinés pas de fièvre lors du covid.
Ce qui confirme que le système immunitaire fonctionne chez les non vaccinés. Car la fièvre est la réponse du corps qui engage le système immunitaire face à l’agression. Donc très bonne chose.
Par contre ce qui est inquiétant, c’est une non réponse des vaccinés de leur système immunitaire. Pas de fièvre.
La raison ? Il y a des études US qui démontrent que les injections détruisent le système immunitaire notamment les lymphocytes T et augmentent les granulocytes qui sont responsables des maladies auto immunes.. entre autres. Ce que L’étude semble confirmer à priori.
C’est très intéressant et pertinent ce que vous dites. Et pourquoi les vax resteraient au lit de 2 à 6 jours de moins que les non-vax ? C’est une vraie question, ça m’intéresse beaucoup, je ne sais pas comment interpréter ça. Merci.