Il y a quelques semaines, Pfizer a annoncé la hausse du prix de son vaccin contre le Covid -19 aux États-Unis. Le nouveau tarif se situe entre 110 et 130 dollars la dose. Il est quatre fois plus élevé que le prix actuel. Les autres producteurs comme Moderna vont sans doute lui emboîter le pas. Cette hausse des prix en dépit de la baisse de la demande en dit long sur la tarification des soins de santé aux États-Unis.
Pfizer a annoncé la hausse du prix de son vaccin contre le Covid-19 qu’il a développé avec BioNTech dès le premier trimestre 2023. Depuis toujours, le prix des vaccins de Pfizer varie d’un marché à un autre. Cela signifie que le tarif imposé en Europe ou au Royaume-Uni est différent de celui proposé au gouvernement fédéral américain. Alors que les États-Unis ont réduit leur demande en matière de vaccins contre le Covid-19, Pfizer prévoit d’appliquer une hausse des prix. Au début de la pandémie, tous les laboratoires pharmaceutiques devaient s’accoutumer à l’environnement de l’EUA (autorisation d’utilisation d’urgence). Mais à présent, on est dans une phase où on se prépare à retrouver le marché commercial traditionnel. Autrement dit, le modèle de distribution adopté pendant la période pandémique va prendre fin pour laisser place aux processus d’approvisionnement normaux. Les coûts de distribution vont exploser. À ce jour, Pfizer détient toujours la plus grosse part du marché en matière de produits contre la pandémie, grâce aux ventes de son vaccin Cominarty et du traitement antiviral Paxlovid.
Une transition vers un marché commercial
À compter de 2023, le coût d’une dose du vaccin élaboré par la société pharmaceutique et son partenaire allemand BioNTEch s’élèvera entre 110 et 130 dollars, soit le quadruple du tarif actuel. Selon les analystes financiers, cela permettra à Pfizer d’accroître ses revenus de 2,5 à 3 milliards de dollars par an. Les autres fabricants de vaccin incluant Moderna pourraient prendre la même décision. Tout cela a une raison particulière.
En effet, depuis des mois, le gouvernement fédéral et les fabricants de vaccins contre le Covid-19 ont évoqué la transition vers le « marché commercial ». Lorsque cette nouvelle phase sera entamée, le gouvernement ne supportera plus le coût des doses commandées. Ainsi, les fabricants de vaccins auront le droit d’appliquer les tarifs qui leur conviennent. Cette hausse des prix prévue par Pfizer entre bien dans le cadre de cette transition.
Une décision reflétant la tarification des soins de santé aux États-Unis
Cette décision de Pfizer d’augmenter le coût de son vaccin contre le Covid-19 à compter de 2023 en dit long sur la tarification des soins de santé aux États-Unis. Notons que dans le système de santé américain, les fabricants de vaccins ou de thérapies sont libres de fixer les prix de leurs produits bien que leur décision dépende de quelques facteurs comme le rapport coût-efficacité.
Les entreprises pensent que ce sont les assureurs qui vont supporter le coût des vaccins. Ainsi, les personnes qui bénéficient d’une assurance maladie privée ou publique, comme Medicare ou Medicaid, pourront toujours recevoir leurs vaccins à titre gratuit.
Par ailleurs, la tarification des produits de santé aux États-Unis, y compris les vaccins, dépend pratiquement de l’offre et de la demande. La concurrence sur le marché est un facteur qui pourrait générer une baisse des prix. Les fabricants sont tenus de maintenir le coût de leurs produits à un niveau compétitif. Le problème, c’est le manque de transparence.
En somme, lorsque l’acheteur unique, le gouvernement fédéral américain, se retire du marché, les fabricants de vaccins peuvent augmenter leur prix. La question qui se pose est : est-ce qu’ils ont le droit de multiplier par quatre le coût actuel des produits ? Le sénateur démocrate Bernie Sanders a souligné que Pfizer avait «reçu des milliards en contrats fédéraux» pour développer son vaccin. Sur Twitter, il a déclaré que «le vaccin anti-Covid de Pfizer devrait coûter 0 dollar ». Pour Julia Kosgei, conseillère politique auprès de People’s Vaccine Alliance , « c’est du vol au grand jour… faire payer 130 dollars la dose représenterait une majoration de plus de 10.000% ».
En effet, une telle hausse ne reflète plus le réalignement du prix et de la valeur, un processus qui entre bien dans le cadre de la transition. Elle met en évidence les aléas du marché américain.
Sauf que jusqu’à maintenant, Pfizer ne supporte pas le coût des effets secondaires. Après ils devront le faire ……
walou !!!
Ils ont fait signer des décharges aux dirigeants pourris corrompus occidentaux pour qu’ils remboursent, non seulement, les effets secondaires, mais, aussi, les frais de justice qu’ils pourraient avoir…
sauf erreur, en Australie, le gouvernement à indemnisé pour 75 millions de $, a vérifier
Cela fait cher le droit de s’intoxiquer !
Il y a quand même un souci à voir des Etats négocier des contrats avec une entreprise très défavorablement connue des tribunaux.
sous réserve de vérif
Les contrats VDL-Bourla auraient prévu, dès l’origine, une évolution des tarifs à la convenance du fournisseur
Tant qu’il y aura des abrutis pour se faire empoisonner.
Le cirque continue ainsi que les affaires.
Et ils ont bien raison….
Il ne s’agit pas d’abrutis mais de mougeons
Et ça inclut comprend des gens très bien, donc altruistes, qui se dévouent tellement qu’ils n’ont pas le temps de se contre-informer
Ca n’aurait pas marcher si même les ténors de notre camp ne croyaient pas lamentablement en ce triste sire de Pasteur et en la théorie vaccinale
Ils partagent la culpabilité
https://nouveau-monde.ca/la-virologie-pseudoscience-au-service-de-la-domination/
Un propos du Professeur Pierre Jacques Antoine Béchamp, l’adversaire d’un célèbre Jurassien soi-disant bienfaiteur de l’humanité injustement adulé sur des bases légendaires, à son confrère le Docteur Vindevogel :
« Vous le savez mieux que moi, toute la médecine officielle, depuis la variole, la tuberculose, jusqu’à la plus vulgaire entérite, est la proie de systèmes préconçus qui, pour se soutenir, cherchent des faits et au besoin, en inventent, ou en imaginent. Vous avez beau faire, contre le bon sens, on vaccinera, on injectera, (…) pour tuer le microbe et la foule inconsciente approuvera gouvernementalement. On a beau écrire pour prouver qu’on se trompe et que l’on trompe, rien n’y fait : pauvre esprit humain ! »
Propos reproduits en introduction de l’éclairant et déniaisant ouvrage de madame Sylvie Simon : « Vaccins, Mensonges et Propagande » paru en 2009.
Qu’attend donc le gouvernement français pour faire valider et autoriser ce vaccin et, ainsi, aider à protéger ou guérir efficacement les personnes infectées par la Covid-19 ? Est-ce que les blocages ne viendraient pas du fait qu’il s’agisse d’un vaccin d’origine française ou qu’il n’y ait aucun intérêt personnel à l’autoriser ?
En effet, déjà la société Xenothera attend depuis plus d’un ans que le gouvernement engage la reconnaissance de leur produit de traitement anti Covid-19, le XAV19, qui plus est, est efficace contre Omicron !
La société Valneva a annoncé le 23 juin 2022 que le Comité des médicaments à usage humain de l’Agence européenne des médicaments a recommandé une autorisation de mise sur le marché (AMM) en Europe de son candidat vaccin contre la Covid-19 en primovaccination chez les adultes âgés de 18 à 55 ans. Mais la France n’a finalement pas passé commande au laboratoire pourtant installé sur son sol, près de Nantes. « On ne comprend pas cette décision. D’autant plus qu’il y a encore quatre millions de personnes qui ne sont pas vaccinées en France », a réagi Franck Grimaud, le directeur général de Valneva, le 20 juillet auprès de l’AFP. La Commission européenne a par ailleurs réduit drastiquement ses commandes : passant de 60 millions de doses au départ à 1,25 million.
Ô, Macron ! dieu de l’Élysée ! Quand allez-vous vous réveiller ? Où est votre engagement de soutenir les entreprises françaises et votre soucis de la santé de vos concitoyens ?
https://www.gov.uk/government/news/valneva-covid-19-vaccine-approved-by-mhra
Une approbation a été accordée après que le vaccin COVID-19 de Valneva a été jugé conforme aux normes de sécurité, de qualité et d’efficacité requises.
De:
Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé
https://www.gov.uk/government/organisations/medicines-and-healthcare-products-regulatory-agency
Publié
14 avril 2022
Le vaccin contre la COVID-19 développé par Valneva a reçu aujourd’hui l’approbation réglementaire de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA).
L’organisme indépendant de réglementation des médicaments du Royaume-Uni est le premier au monde à approuver le vaccin Valneva, qui devient le sixième vaccin COVID-19 à obtenir une autorisation MHRA.
Il s’agit également du premier vaccin inactivé contre la COVID-19 à virus entier à obtenir l’approbation réglementaire de la MHRA. Avec ce type de vaccin, le virus est cultivé en laboratoire, puis rendu complètement inactif afin qu’il ne puisse pas infecter les cellules ou se répliquer dans le corps, mais peut toujours déclencher une réponse immunitaire au virus COVID-19. Ce procédé est déjà largement utilisé dans la production de vaccins contre la grippe et la poliomyélite.
————-
14 avril 2022
https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/the-valneva-vla2001-covid-19-vaccine–what-you-need-to-know
Le vaccin anti-SARS-CoV-2 de Valneva (VLA2001) est un vaccin à virus entier purifié, inactivé et contenant un adjuvant.
Le Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS (SAGE) sur la vaccination a publié des recommandations provisoires sur l’utilisation de ce vaccin. Cet article présente un résumé de ces recommandations provisoires.
Aux fins du présent article, le vaccin sera appelé « vaccin de Valneva ».
Les documents d’information sont également disponibles ici (en anglais).
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/361717/WHO-2019-nCoV-vaccines-SAGE-recommendation-VLA2001-background-2022.1-eng.pdf?sequence=1&isAllowed=y
https://www.vidal.fr/actualites/29107-finalement-le-royaume-uni-autorise-le-vaccin-anti-covid-19-de-valneva.html
https://www.gov.uk/government/news/valneva-covid-19-vaccine-approved-by-mhra
Une approbation a été accordée après que le vaccin COVID-19 de Valneva a été jugé conforme aux normes de sécurité, de qualité et d’efficacité requises. De: Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé https://www.gov.uk/government/organisations/medicines-and-healthcare-products-regulatory-agency Publié 14 avril 2022 Le vaccin contre la COVID-19 développé par Valneva a reçu aujourd’hui l’approbation réglementaire de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA). L’organisme indépendant de réglementation des médicaments du Royaume-Uni est le premier au monde à approuver le vaccin Valneva, qui devient le sixième vaccin COVID-19 à obtenir une autorisation MHRA. Il s’agit également du premier vaccin inactivé contre la COVID-19 à virus entier à obtenir l’approbation réglementaire de la MHRA. Avec ce type de vaccin, le virus est cultivé en laboratoire, puis rendu complètement inactif afin qu’il ne puisse pas infecter les cellules ou se répliquer dans le corps, mais peut toujours déclencher une réponse immunitaire au virus COVID-19.
Ce procédé est déjà largement utilisé dans la production de vaccins contre la grippe et la poliomyélite.
————- 14 avril 2022
https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/the-valneva-vla2001-covid-19-vaccine–what-you-need-to-know
Le vaccin anti-SARS-CoV-2 de Valneva (VLA2001) est un vaccin à virus entier purifié, inactivé et contenant un adjuvant. Le Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS (SAGE) sur la vaccination a publié des recommandations provisoires sur l’utilisation de ce vaccin. Cet article présente un résumé de ces recommandations provisoires. Aux fins du présent article, le vaccin sera appelé « vaccin de Valneva ».
Les documents d’information sont également disponibles ici (en anglais).
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/361717/WHO-2019-nCoV-vaccines-SAGE-recommendation-VLA2001-background-2022.1-eng.pdf?sequence=1&isAllowed=y
https://www.vidal.fr/actualites/29107-finalement-le-royaume-uni-autorise-le-vaccin-anti-covid-19-de-valneva.html