Dans le cadre d’une enquête publique sur le Covid-19, les anciens messages WhatsApp de Boris Johnson, sont passés au crible. L’objectif est de comprendre si les décisions prises durant la crise étaient adéquates, notamment en ce qui concerne les verrouillages et les restrictions. Ce n'est pas l'intention des enquêteurs mais il est très probable que l'on va découvrir combien Boris Johnson a dû brimer son bon sens et son instinct qui le portaient vers le refus de tout enfermisme.
Après l’enquête parlementaire sur des mensonges présumés dans l’affaire Partygate, ou l’équipe gouvernementale a été accusée de ne pas avoir respecté les règles de confinement quand elles étaient imposées au reste de la société, une nouvelle enquête publique Covid a été lancée au Royaume-Uni. L’enquête est répartie en plusieurs modules. L’audience préliminaire a eu lieu le mois dernier. Dans le cadre de cette enquête, les responsables ont demandé à consulter les messages WhatsApp de Boris Johnson lorsqu’il était Premier ministre.
L’utilité des messages dans l’enquête
Selon l’avocat de l’enquête, Hugo Keith KC, la crise sanitaire a mis à rude épreuve les systèmes de santé, de soins, financiers et éducatifs ainsi que les entreprises du Royaume-Uni. L’un des principaux objectifs de l’enquête consiste à comprendre comment les décisions “capitales” d’imposer des verrouillages et des restrictions étaient prises.
En effet, les responsables veulent évaluer la qualité des directives et conseils reçus par les ministres. Le but est de savoir s’il était possible de sauver plus de vies en imposant le verrouillage un peu plus tôt au début de 2020.
L’objectif de l’enquête
Selon M. Keith, la crise sanitaire a perturbé les économies et les systèmes éducatifs, et exercé une pression sans précédent sur les systèmes de santé nationaux. Des emplois et des entreprises ont été détruits et les moyens de subsistance ont disparu.
Il a déclaré que son impact se fera sentir pour les « décennies à venir ». Raison pour laquelle, cette enquête publique a été lancée.
Elle sera menée par les ministères, des individus représentant les plus vulnérables de la société (les personnes handicapées, les femmes exposées à la violence domestique et les personnes ayant développé un “long Covid“) et des organisations. Ces derniers pourront consulter tous les documents de l’enquête et faire des soumissions.
L’objectif est de savoir si les risques auxquels tout individu, notamment les personnes vulnérables, était exposé étaient pris en compte. Pour M. Keith, la pandémie “a atteint et touché presque tout le monde”, mais que son impact n’a pas été ressenti de la même manière. Notons qu’une autre audience préliminaire aura lieu en début d’année 2023. Les audiences publiques débuteront en été, et prévues durer environ huit semaines.
Comment Boris a été tué politiquement
En réalité, l’esprit de l’enquête dont nous parlons est profondément “enfermiste”. Il s’agit de prouver que le gouvernement de Boris Johnson n’a pas agi assez ni assez vite pour combattre le COVID par les confinements appropriés. En réalité, les éléments dont on dispose déjà tendent à montrer que Boris Johnson était spontanément, instinctivement partisan du “laissez-faire” pour arriver rapidement à une vraie immunité naturelle. Pour des raisons que les historiens élucideront, il n’a pas su résister aux pressions enfermistes. Mais tout son comportement, y compris son son éventuel refus personnel de suivre les règles enfermistes, témoigne de la résistance d’un tempérament politique qui sentait bion que rien de bon ne sortirait, pour la Grande-Bretagne, des confinements voulus par la caste mondialiste – en particulier ces hauts fonctionnaires qui voyaient l’occasion de “prendre une revanche sur le Brexit” en alignant à nouveau la Grande-Bretagne sur les slogans globalistes. Boris a été tué politiquement à petit feu par l’enfermisme covidien.
En effet UK et la Suède semblaient sur la même ligne début 2020. Après avoir contracté le virus, Boris Johnson semble avoir tourné casaque. Mais pas la Suède qui a suivi les recommandations de ses équipes médicales indépendantes concernant l’immunité collective.
Je confirme pour être allée 8 fois pendant le covidisme, de juillet 2020 à octobre 2021 pour le procès de Julian Assange, que Boris Johnson n’a PAS appliqué le covidisme. Les confinements étant illégaux, et la police nationale n’existant pas, les Britanniques se promenaient tout le temps dehors, y compris dans des mouvements de protestation: ils sortaient en masse, avec chiens et enfants, pour défier le pouvoir et il y a eu aussi de très grandes manifestations. De nombreux restaurants travaillaient à fond, meme à emporter et les restaurateurs et hoteliers participaient aux manifestations. J’ai été hébergé dans des hotels travaillant clandestinement mais sans aucun contrôle policier. Il n’y a jamais eu de couvre feu ni de masque obligatoire dehors et il n’y a pas eu de masque sur les enfants. Les Britanniques ne respectaient pas la quarantaine et s’en foutaient complètement du pass sanitaire et du traçage. Seuls les régions les plus socialistes ont été plus dures. Et surtout, les policiers ne vérifiaient jamais ni le passanger locator card, ni le vaccinage ni les quarantaines à l’entrée du pays – ce sont les transporteurs privés qui le faisaient, mais comme c’est illégal, je suis passé 8 fois de suite SANS QUARANTAINE et sans vaccinage. Et je n’ai jamais eu de problèmes avec la police aux frontières. Bien au contraire. Johnson dans l’affaire du covid était notre allié. Quand au vaccinage de masse c’était du fake, du storytelling.
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Mes articles sur le voyage du temps covidien
Impressionnant de mener une enquête qui tenterait de prouver qu’il aurait fallu enfermer plus tôt…
Ils en sont encore là bordel de Dieu !
Et pourquoi pas une enquête sur le fait qu’interdire ou rendre difficile l’accès aux soins et aux médecins étaient vraiment stupides ? Cela permettra de comparer
Enfin ça ce serait dans un monde idéal, droit, juste, équitable, honnête ; des valeurs disparues des sociétés modernes