Au début de la pandémie, de nombreux chercheurs ont évoqué l’efficacité de certains médicaments incluant notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine dans le traitement du Covid-19. Mais rapidement, les autorités sanitaires et les bureaucrates de l’administration Biden les ont volontairement disqualifiés comme traitement du COVID-19. Avec le lobbying intensif des laboratoires, les médias mainstream ont également alimenté la confusion et la désinformation autour de ce médicament. Existerait-il une volonté délibérée d’empêcher le traitement ?
L’ivermectine est un médicament principalement connu pour ses propriétés antiparasitaires. Découvert en 1974, l’ivermectine a permis de traiter l’onchocercose (seconde cause de cécité infectieuse au monde), les helminthiases et la gale. Ce traitement a été largement utilisé et est généralement bien toléré dans le cadre d’indications pour un usage antiparasitaire tant chez l’animal que l’humain. Outre cette action antiparasitaire, il a été observé subséquemment que l’ivermectine inhibait efficacement la réplication in vitro du virus de l’immunodéficience humaine (VIH). À la suite de cette publication, plusieurs équipes indépendantes ont démontré une activité antivirale de l’ivermectine contre des virus à ARN et à ADN. Alors que 67 études contrôlées sur l’ivermectine COVID-19 ont montré une amélioration de 67 % chez les patients Covid. Pour endiguer le Covid, notre gouvernement s’entête dans une stratégie unique du tout vaccinal et délaisse ces autres solutions comme l’ivermectine, qui pourraient faire la différence. Le profit expliquerait-il cette omission volontaire ? Il semblerait que le marché des vaccins est beaucoup plus profitable financièrement que celui des traitements, puisqu’il concerne toute la population et pas seulement les malades.
Traitement refusé par l’establishment
Des études japonaises ont montré que le médicament antiparasitaire Ivermectine a un effet antiviral contre les divers variants du coronavirus. Ces études indépendantes ont été recommandées par un prix Nobel de médecine japonais le Docteur Haruo Ozaki. En avril 2021, le ministère indien de la Santé a préconisé l’ivermectine pour traiter la Covid-19, s’appuyant sur les nombreuses études disponibles. Ces pays ont tous eu recours à ces traitements avec des résultats probants. Le Nebraska (Etats-Unis) autorise également l’ivermectine et l’hydroxychloroquine dans le traitement contre le Covid 19.
On est dans une situation bien différente ailleurs dans le monde, où les États se sont laissés impressionner par le lobbying de l’industrie pharmaceutique sur la bonne façon de traiter le Covid-19.
En effet, les agences de régulation, les associations professionnelles et sociétés pharmaceutiques ont une lecture sélective des données disponibles. Ces associations ont mentionné une déclaration de Merck (le détenteur originel du brevet) qui discréditait son propre médicament en raison d’un “manque inquiétant de données de sécurité dans la majorité des études”.
Pourtant, en mars 2021, en pleine situation d’urgence, une quarantaine d’études favorables étaient déjà disponibles. Ces études contrôlées sur l’ivermectine sur le Covid-19 ont montré une amélioration de 67 % chez les patients Covid. L’efficacité est rapportée non seulement en début d’infection, mais également en phase secondaire.
Mais de son côté, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a également émis des réserves sur son utilisation. Elle recommandait de ne pas l’utiliser chez les patients atteints de la Covid-19, sauf dans le cadre d’un essai clinique. Une position intrigante qui a laissé le champ libre à la vaccination de masse. Le prétexte récurrent était qu’ il n’existait aucun traitement approuvé pour le Covid: le vaccin allait devenir le seul moyen utilisé contre le virus, « hors du vaccin point de salut », aimait-on nous répéter.
En septembre 2021, la FDA avait été tentée de montrer son intérêt sur la possible efficacité de ce médicament dans le cadre de la prévention ou du traitement du Covid-19. Mais la gouvernance de l’organisation a été vite recadrée: on y a ensuite déclaré que de nombreux patients ont présenté des troubles de santé nécessitant des soins médicaux spécifiques, incluant une hospitalisation, après avoir s’être automédiqués avec de l’ivermectine
Étude « faussée » et conflits d’intérêts mis au grand jour
La plateforme TOGETHER a mené une vaste étude concernant l’utilisation de l’ivermectine dans le traitement de patients atteints de Covid-19. Les résultats ont été publiés par Reis et al. dans le numéro du 5 mai 2022 du New England Journal of Medicine (NEJM).
L’étude a révélé qu’à travers les essais, l’ivermectine pouvait être efficace et réduire de 30% le risque d’hospitalisation ou d’observation prolongée au service des urgences des patients du Covid-19.
Reis et ses collaborateurs ont observé que le traitement était sûr, sans différence significative dans l’incidence des événements indésirables entre les patients qui ont reçu l’ivermectine et ceux qui ont reçu le placebo.
Cependant, ces résultats sont déroutants et doivent être mis en balance avec les données du monde réel. Il est bien connu que l’utilisation non contrôlée ou inappropriée de l’ivermectine puisse entraîner des effets indésirables graves ou mortels tels que l’hypotension, l’ataxie ou les convulsions. Selon l’étude, depuis la première mention de l’ivermectine comme traitement potentiel du Covid-19 en mai 2020, une recrudescence des effets indésirables de l’ivermectine a été signalée aux centres de pharmacovigilance.
Si l’article de Reis et de ses collaborateurs conclut que l’ivermectine est inefficace pour le
traitement du Covid-19. L’ivermectine ne diminue pas significativement la durée d’hospitalisation (niveaux de preuve scientifique très faible à faible). Le traitement ne diminue pas significativement l’incidence de la mortalité.
Cependant les auteurs n’ont pas mentionné certaines informations. Reis et ses collaborateurs ont constaté une confusion concernant les profils des participants. Elle concerne notamment leur statut vaccinal. Au départ, il a été dit que les personnes vaccinées pouvaient participer à l’essai.
Mais leur nombre n’a pas été mentionné. Puis le texte intégral de l’article sur NEJM.org a révélé que la vaccination contre le Covid-19 était un critère d’exclusion. Des études supplémentaires sont donc nécessaires.
Pour mémoire, comme nous l’avons déjà évoqué, une investigation a mis en évidence des liens étranges entre le Deep State US et FTX Foundation ainsi que les chercheurs qui ont déconseillé l’usage de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine.
En effet, la FTX Foundation, une fondation caritative de FTX dirigée par le banquier Sam Bankman-Fried,, et qui a fait faillite dans la cryptomonnaie, aurait financé Together Trial (plus de 18 millions $ dit-on) sur ses recherches sur les traitements contre le COVID.
Dans ce contexte, FTX Foundation a repris à son compte les recherches menées dans le cadre de Together, qui ont décrédibilisé l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. A priori, la fondation a négocié avec les chercheurs qui ont déconseillé le recours à ces médicaments.
Sur le site de Together, on peut apercevoir ce tableau qui illustre le résumé des études menées sur l’hydroxychloroquine:
Ce monde est dirigé par des affairistes sans conscience ni amour-propre qui se pensent hors de ce qu’ils dénomment le « troupeau » càd l’humanité entière. Dans leurs mains la civilisation aura vite fait de disparaître, nous en sommes au début.
Non mais ce médicament n’a aucun autorisation de mise sur le marcher pour les humains.
Et le fabricant n’a pas l’intention de demander l’autorisation car il l’estime ne rentrant pas dans les normes.
Regardez les vidéos du Pr Raoult il en parle !
Donc fin du débat là dessus.
L’ivermectine est prescrit pour le traitement de la gale.
Rectification : ce médicament a l’autorisation de mise sur le marché pour les êtres humains depuis des années. Il est utilisé massivement en afrique et autres pays tropicaux depuis des années pour lutter contre divers parasites ou maladies causées par ces parasites microscopiques. De plus ce produit est très sûr : il y a eut des milliards de doses distribuées et quasiment aucun effet secondaire même à fortes doses. Vérifiez donc vos sources avant de diffuser des mensonges !!!.
cocol256 a raison, ce médicament a une AMM pour les maladies parasitaires. Cependant tous les médecins ont encore le droit (pour combien de temps, la question se pose…) de prescrire des médicaments « hors AMM » pour une autre destination que celle prévue par l’AMM. La seule conséquence est que le médicament ne sera pas remboursé par la Sécu. Pour ma part, à titre de prévention en vue d’un voyage à l’étranger, j’ai obtenu fin 2020 une prescription d’ivermectine par un médecin généraliste. La pharmacienne m’a tenu un discours sur le fait que « rien ne prouve que l’ivermectine ait un quelconque effet contre le Covid, bla bla bla) mais m’a quand même délivré le médicament. J’ai payé moins de 10 € pour un mois de traitement.
Par ailleurs la Sécu scrute les délivrances d’ivermectine et en cas de dépassement d’un certain seuil prévient l’ARS et/ou le conseil de l’ordre, ce qui expose les médecins prescripteurs à des tentatives d’intimidation.
Breizh, Cocol256 et Nox, donc vous dites que le Pr Raoult n’y connaît rien ?
Allez voir le Vidal…
https://www.vidal.fr/recherche.html?query=Ivermectine
Vous ne devriez pas répéter certaines argumentations entendues à la télé sans vérifier…
Huger allez voir les vidéos du Pr Raoult, il est très clair sur le sujet.
Si c’est très clair, mettez au moins une référence précise.
Il n’empêche que ce qu’indique le Vidal est un fait et qu’une opinion ne peut contredire un fait.
Voici l’AMM (correspondant au Stromectol) dont vous contestez qu’elle existe:
LISTE II
AMM 3400935238856 (1999, RCP rév 05.05.2022) 4 comprimés.
3400935238917 (1999, RCP rév 05.05.2022) 20 comprimés.
Yo sait tres bien que que l ivermectine est un bon traitement. mais il aime chambrer
@Yo
Vous prenez quoi de votre côté comme substance ? Nom de la vidéo, timing etc
On pourra vérifier ce que vous dites et dans ce cas confirmer que Raoult s’est trompé
Vous serez content car votre propos n’est pas l’ivermectine mais de faire dire que Raoult fait des erreurs car on voit bien que vous prenez tous les lecteurs de ce site pour des affreux jojos complotistes… hypocrite en plus d’être un vrai bóbó
Trucmuche, demain je cherche la vidéo ok.
Mais vous dites déjà que Raoult s’est trompé…
Soyons clair, entre lui et vous j’ai plus confiance en lui.
Raoult aussi a été traité de complotiste.
Moi je veux juste la vérité. (Pour peu qu’on peut la démontrer c’est pas toujours facile)
Et qu’elle soit dans un sens ou dans l’autre, y compris pas dans le sens que j’aurais souhaité, je la défendrai toujours la vérité.
Et si je crois en une vérité et si on me montre que je fais erreur je corrigerais le tir.
Huger et Trucmuche,
C’est dans les vidéos de l’IHU de Marseille sur la chaîne YouTube.
Là il est tard, demain après le boulot je vous recherche la bonne vidéo, promis. 😉
Je me suis arraché les cheveux pour vous trouver cette vidéo.
En fait c’est pas exactement celle que je cherchais.
Dans celle il dit que l’ivermectine est interdit mais il ne dit pas cause exacte il parle d’obsolescence programmée du médicament.
https://www.youtube.com/watch?v=4U0wDOU-R5o&t=449s
C’est autour de 9m40
Parlez vous de votre opinion ou de votre expérience ?
Perso j’ai quelques exemples de proches. Ivermectine et doxycycline :guérison immédiate.
Doliprane :15 jours de crève. Alors après le blabla…
Et d’experience je connais des personnes qui sans rien prendre se guérir rapidement voir n’ont même pas eu de symptômes.
On n’est pas égaux sur ce virus et ne réagit pas pareil en fonction des gens.
Dans tous les je ne juge pas l’efficacité de l’ivermectine.
Je laisse ça aux professeurs et aux essais cliniques.
Je dis juste qu’il n’y a pas d’autorisation de mise sur le marché pour ce médicament pour soigner des humains d’infection virale.
Ce site très sérieux, fait la synthèse de toutes études relatives aux thérapies tentées contre le COVID 19 :
https://c19early.org/
Et voici le tableau spécifique relatif à l’ivermectine :
https://c19ivm.org/
La lecture est un peu ardue, mais voici la conclusion : « la synthèse de 93 études revues par les pairs impliquant 1 014 praticiens, 133 838 patients, dans 27 pays, met en évidence une amélioration significative dans les domaines de la mortalité, la ventilation, l’hospitalisation, la guérison et le nombre de cas.
Voici les taux d’amélioration dans les trois catégories ci-dessous :
prophylaxie : 83 %
traitement au début de la maladie : 62 %
traitement tardif : 43 % »
A noter le chiffre impressionnant de 83% d’amélioration en prophylaxie, qui justifie a posteriori les résultats remarquables observés en Inde, dans les états qui ont distribué en prévention le kit ivermectine (+ vitamine D et C, + zinc…) à toute leur population. Ces états ont eu très peu de cas et quasiment aucun décès. Alors que dans les états indiens qui avaient fait le choix du tout vaccinal, les chiffres étaient comparables à ceux de l’Europe…
L’information était disponible, il n’y avait pas à chercher beaucoup. Il y a bien eu une action concertée des gouvernements, des autorités sanitaires et des médias pour discréditer les traitements et favoriser les vaccins à ARN messager.
L’ampleur de cette manipulation ç l’échelle mondiale donne le tournis…
Il semble bien que l’étude TOGETHER ait été conduit pour décrédibiliser l’ivermectine, comme l’étude SURGISPHERE, à l’origine du LancetGate, a fermé la porte à l’hydroxychloroquine,
Pour voir la suite impressionnante d’anomalies, de manipulations, et de falsifications grossières qui ont émaillé cette étude, voir :
https://www.covid-factuel.fr/2022/06/14/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau-lancetgate/
« Existerait-il une volonté délibérée d’empêcher le traitement ? »
Franchement, faut-il encore poser la question alors que l’existence d’un seul traitement mettait en péril l’autorisation de mise sur le marché des « vaccins »?
Que dire du classement en substance vénéneuse de l’HCQ en janvier 2020? De la réquisition de tous les stocks d’ivermectine sur ordre de Véran, par la gendarmerie de Martinique à l’été 2021, alors que les manifestations anti-vaccins battaient leur plein?
@ Huger: lalaina aime bien chauffé dans ses articles le chaud et le froid! ps: j’espère que mon commentaire va rester! 🙂
C’est pour nos faire réagir… Et ça marche !
ah! tiens mon commentaire n’a pas plus manifestement!
Un autre article d’un médecin tenant un blog d’information libre et dépourvu de conflits d’intérêt(un peu comme ce site de monsieur Verhaeghe) : le libre penseur de salim laïbi : Il y cite des chercheurs et médecins en Norvège qui avertissent sur la dangerosité des doses de rappel. Je vous mets le lien : https://www.lelibrepenseur.org/norvege-des-chercheur-avertissent-sur-la-dangerosite-des-doses-de-rappel/
A part celà en france le gouvernement, les autorités de santé et les médias mainstream militent pour une dose supplémentaire et le port du masque alors que l’expérience montre que ça n’a servit à rien dans le passé.
Idem pour Macron qui embrasse les joueurs français du mondial lors de leur retour en france. Alors que quelques jours plus tôt il militait pour respecter les distances sociales et porter le masque. Si il risquait quoi que ce soit, il n’aurait pas fait la bise à des inconnus prestigieux. Les politiques nous prennent pour des imbéciles depuis trois ans et personne quasiment ne réagit face à ces voltefaces incessantes et ces contradictions à tout bout de champ.
Depuis trois ans seulement ? J’en suis soulagé.