À défaut de proposer des politiques à la nation (pour ce faire, il y a McKinsey et la Communauté européenne de Davos), l’acteur Emmanuel Macron, pour occuper le terrain médiatique, est de moins en moins avare de confidences scabreuses concernant sa pittoresque vie privée.
Dans une interview dont la publication est prévue pour le 7 janvier, le pseudo-chef du pseudo-État aurait notamment déclaré que « le seul avantage de ce quinquennat, c’est que [sa] différence d’âge [avec Brigitte Macron] se réduit à vue d’œil ». Du point de vue de la santé du couple gérontophile Macron, on ne peut en effet que se réjouir du fait que les institutions de la 5e République présentent de tels avantages, quelque peu inattendus. Car, du point de vue du peuple français, en revanche, on peine de plus en plus à percevoir les avantages de ces quinquennats Macron : le pognon de dingue de l’endettement, la perte des fleurons industriels et les quelques centaines de milliers d’AVC « climatiques » auxquels on peut s’attendre, en effet, ne semblent guère pouvoir être considérés comme des avantages.
Couple Macron : les vrais enjeux du recyclage
À la rigueur, si nous avions beaucoup de postes de président à couvrir, et s’il ne fallait pas les rémunérer, nous pourrions envisager d’en profiter pour développer un tourisme spécialisé du vieillissement masculin accéléré, pour le plus grand bonheur de tous les gigolos qui, après avoir épousé leur sugar mamie, finissent par concevoir des complexes. Ils pourraient alors, comme le petit Manu, développer une belle maturité poivre et sel – mais sans nous coûter ce pognon de dingue.
Mais, comme tel n’est pas le cas, difficile de s’empêcher de se dire que, au bénéfice du petit Manu, les mêmes avantages de mûrissement pourraient facilement être obtenus moyennant une vingtaine d’années de travaux forcés en Guyane. Après tout, dans la vie, il n’y a pas que le quinquennat.
Sans compter la conjointe qui nous coûte aussi un “pognon de dingue” et qui se mêle des affaires de l’Etat alors qu’elle n’a aucun mandat…
Oui, c’est ça, Modeste vous avez raison!… Des travaux forcés en Guyane! Ou ailleurs! Avec deux repas par jours, nous ne sommes pas psychopathes, mais dix heures de boulot, la somme moyenne d’un artisan. Pendant dix ans, pour commencer. Pas de téléphone, pas d’Internet, mais une bibliothèque. Remarquez, la Guyane c’est bien tout de même. Il y a plein de bestioles diverses et variées la bas; cela les aidera aussi à revenir sur terre. C’est un programme charitable en quelque sorte. Ou de rééducation par le travail et l’entomologie. Bon. Bonne soirée et à bientôt au plaisir de vous lire.