Incitant pratiquement les participants à frauder les tests Covid et plaçant « le climat » au deuxième rang de ses préoccupations, l’édition 2023 du Forum de Davos est caractérisée par un air plus qu’étonnant d’ancienne normalité.
A force de complotisme institutionnalisé, on finirait par s’attendre à y croiser la rédaction du Courrier des Stratèges au grand complet – mais, curieusement, les quelques 120 milliardaires dont les cotisations financent l’événement ne semblent pas avoir insisté pour nous y rencontrer.
Ce n’est d’ailleurs pas Alex Jones ou Silvano Trotta, mais la délégation à Davos du site Politico (véritable bulletin paroissial de l’antenne bruxelloise du WEF) qui attire notre attention sur ce fameux rideau derrière lequel les participants, leur kit de test en main, « disposent de multiples moyens de tromper le système ». Mais qui songerait à frauder un système aussi vertueux, en risquant de super-propager une peste aussi noire ? Peut-être certains de ces milliardaires dont on murmure qu’ils se cherchaient récemment des pilotes non-injectés susceptibles de les conduire à Davos sans risquer trop d’AVC « climatiques » en cours de route ? Allez savoir…
Un Davos sans Covid ni climat, c’est comme une Gay Pride sans Macron ni Sunak !
C’est ce même Politico qui, toute honte bue, nous apprend que plusieurs des vedettes planétaires de l’activisme climatique ont décidé de bouder l’édition 2023 du forum – peut-être dépités de voir leur cher climat relégué au deuxième rang du Global Risks Report de cette année ?
Ou tout simplement, comme le britannique Rishi Sunak et le président Emmanuel Macron, parce que – pour citer, là encore, Politico ! – pour beaucoup de leaders (politiques ou d’opinion) pourtant pieds et poings liés à Klaus Schwab, mais jaloux de leur popularité, être vu à Davos est désormais considéré comme trop « toxique » (sic). On se demande bien pourquoi…
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