Est désormais déclaré transphobe tout hérétique émettant le moindre doute quant à la vente (aux ordonnateurs de crédit public) des thérapies de réorientation, qui jouissent visiblement de la même sacralisation que les injections magiques de la thérapie génique antigrippale.
« Qui me gardera de mes gardiens ? », demandait Juvénal. À la seconde où l’on accepte le principe d’une criminalisation des idées, on lance, qu’on le veuille ou non, une olympiade de la surenchère dont on peut être sûr que seuls les extrémistes les plus possédés pourront sortir – non seulement vainqueurs, mais vivants.
C’est l’erreur fatale qu’a commise l’Occident de la radicalisation antifasciste post-1968 : du jour où, par exemple, la France a promulgué des lois mémorielles, il était – sinon facile, du moins possible de prédire que le jour viendrait où la ministre en charge du plan « France LGBT » (sic), sous l’influence présumée d’une « juge spécialiste des violences conjugales » (Isabelle Rome), allait congédier l’ensemble des experts de la DILCRAH (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT), « coupables » de s’être exprimés contre « les dérives possibles d’une médicalisation trop rapide pouvant donner lieu à des modifications corporelles irréversibles des mineurs trans ».
En identifiant le pouvoir du Juge comme incarnation spécifique de la notion d’autorité en paradigme libéral/bourgeois, Alexandre Kojève nous avait d’ailleurs, dès 1943, fourni la clé explicative de cette inévitable dictature des Khmères roses.
On est toujours le transphobe de quelqu’un
C’est ce que viennent de découvrir à leurs dépens les experts – pourtant fort bien-pensants – de la DILCRAH, remerciés par simple email ministériel : la gauche, une fois de plus purgée manu militari par l’extrême gauche.
Des compagnons de Lénine encore en vie au moment de l’ascension de Staline, tous ceux qui avaient alors accepté de participer à l’œuvre de réécriture de l’histoire qui a permis l’exclusion de Trotski étaient déjà morts au moment de l’assassinat de ce dernier (1940) – généralement pas de mort naturelle. Que l’utopie promue soit « la société sans classes » ou « la transidentité », les sectes millénaristes ont toujours cela en commun avec l’intrigue du film Highlander : à la fin, il n’en restera qu’un – et il sera empoisonné par ses lieutenants.
Les fous qui se lanceront, vivront un cauchemar car la médication est lourde, à vie et avec des effets indésirables majeurs. Alors qu’à la base ce sont des perturbations hormonals avec des causes multifactoriels (pilules, perturbateur endocriniens, carences en micronutriments…..) ils auront juste le choix de s’appeler kelly, Rachel, Tephanie est d’être malade.
Petite précision le logo arc en ciel du mouvement LGBT, correspond aux herbicides arc en ciel utilisé par l’armée américaine pour détruire l’écosystème floral pendant la guerre du Vietnam ???????????? A MÉDITER
Il y a ce qui existe et ce que l´on prend pour des réalités.
Des hommes qui veulent devenir des femmes , des femmes qui veulent devenir des hommes ….
Des gens qui ne veulent plus être il ou elle ….
Bref je commence à y perdre mon latin .
Pardonnez moi je suis terriblement binaire .
Je suis un homme carnivore qui aime les femmes , simple non ….
Mâle et femelle …..
En fait , je suis très genré, et je m´en fous …….
au début, Modeste Schwartz me faisait sourire…et puis de plus en plus, quel que soit le sujet, sa prose m’agace, trop lourde, tortueuse, incompréhensible parfois…il écrit trop, trop souvent…qu’il se repose un peu.
Reposez-vous monsieur et laissez à d’autres le soin sinon le plaisir de lire sa prose et de partager ses idées. Libre à vous de passer à autre chose.