Le mot « relocants » est devenu l’un des nouveaux mots de notre temps. Beaucoup d’entre nous ont entendu ou vu sur les réseaux sociaux les histoires de ceux qui ont quitté la Russie après février ou septembre 2022. Je connais aussi ces histoires, et ceux qui ont quitté le pays. Cependant, les généralisations rendent parfois difficile la compréhension de ce qui se passe en ce moment avec nos concitoyens et notre pays. Ce mot « relocants » confond plusieurs phénomènes complètement différents. Oui, tous ces gens ont quitté la Russie, mais il y a beaucoup de différences entre eux.
Cet article initialement publié sur vz.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Ces différences doivent être prises en compte afin de savoir exactement comment traiter ces personnes et quoi en faire, au final. Qui sont vraiment ces personnes et en quoi diffèrent-elles ? Pour ma part, ils sont divisés en plusieurs groupes.
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