La Chine populaire se déclare opposée à la « manipulation politique » des faits, en réaction aux affirmations du directeur du FBI soutenant l’hypothèse d’une origine artificielle « du Covid ».
Comme – à défaut, notamment, de preuves démographiques – l’existence même d’une pandémie en 2020 repose principalement – outre la thèse, scientifiquement précaire, du rôle pathogène des virus – sur des tests consistant à comparer des milliards d’échantillons individuels à la photographie d’un virus qui n’a jamais été correctement isolé, et que cette photographie a été fournie à l’OMS par les autorités chinoises, on comprend bien que les princes rouges se montrent, en la matière, assez susceptibles : que les affirmations américaines soient fantaisistes ou non, aucun gouvernement covidiste n’a réellement intérêt aujourd’hui à ce que cette question occupe trop de place dans le temps de cerveau disponible du public.
L’ironie du sort veut qu’en l’occurrence, le gardien de l’orthodoxie pangoline soit justement cette Chine communiste qui, il y a quelques mois, a mis fin au délire du Zéro Covid en décidant de recommencer à considérer les grippes comme des grippes. Il faut dire qu’entre-temps, l’essai covidien a été transformé en Ukraine, si bien que la Chine a déjà gagné tout ce qu’elle avait à gagner dans le Great Reset – à savoir : la vassalisation de la Russie et l’élimination du concurrent industriel européen.
FBI : la Chine, responsable de la pandémie qui n’a pas eu lieu
Cette même ironie du sort veut que le trublion complotiste que la Chine essaie de faire taire soit, en l’occurrence, cette droite US très antichinoise, qui par ailleurs constitue la partie du spectre politique américain la plus susceptible de réalisme covidien – et pourrait même finir, derrière De Santis, par conquérir le pouvoir grâce à un programme essentiellement anticovidiste.
On serait donc tenté de leur demander : à quoi bon se laisser obséder par « l’origine » (pangolin ou laboratoire) d’une pandémie qui n’a jamais eu lieu ?
Mais la géopolitique, dans la mesure où elle recommence – malgré Davos – à exister, a ses raisons que la raison ne connaît pas, et, comme les centres urbains de notre planète sont encore majoritairement peuplés de naïfs qui croient sincèrement avoir vécu une pandémie en 2020-21, c’est là un carburant dont la guerre de l’information – connue pour faire feu de tout bois – aurait tort de se priver.
Belle ironie en effet de se préoccuper de l’origine d’une pandémie qui n’a jamais eu lieu ????
J’ai d’ailleurs été gravement pas malade et non vacciné à plusieurs reprises…
J’ai boycotté les centres commerciaux et les restaurants. Résultat : je n’ai rien chopé.
Beaucoup ont attrapé le virus par la télévision et ont préféré l’injection plutôt qu’actionner la télé-commande.
Voilà qui va les renvoyer dos à dos
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites
A propos d’armes chimiques, toujours interdites en principe…
https://reseauinternational.net/la-russie-met-en-garde-contre-une-potentielle-provocation-a-larme-chimique-par-les-etats-unis-en-ukraine/
Si elle sont aussi efficaces que le Covid, c’est bon, qu’ils les balancent au lieu de nous remplir les oreilles…
Merci @Huger
Toute cette histoire, gérée par le Pentagone, est autre chose qu’une pandémie : c’est “un essai mondial de prise de contrôle de la pensée des individus” de la Planète. Comment ? C’est simple grâce à l’injection, à un maximum d’humains, d’une composition à base de graphène, permettant de transmettre
par les ondes de nos téléphones mobiles ou leurs antennes, des ordres aux humains injectés. Et ce n’est pas fini, car il y quelques jours, un texte est sorti précisant que de la même façon que la DARPA pouvait contrôler le vol d’un coléoptère, elle travaillait à faire la même chose avec les Humains…