A cause de la crise sanitaire, à travers le monde, nombreuses personnes ont été confrontées au stress, à la solitude, à la peur de la maladie, à l’anxiété …Les données statistiques issues de l’étude collaborative de l’OMS/Europe sur le comportement des enfants d’âge scolaire en matière de santé, nommée enquête HBSC, ont révélé que la santé mentale des adolescents finlandais s’est détériorée durant la pandémie du Covid-19. Nombreux sont les jeunes qui ont développé des sentiments dépressifs. La plupart d’entre eux sont des filles âgées de 13 et 15 ans.
D’après une note scientifique publiée au mois de mars par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), en 2020 la prévalence mondiale de l’anxiété et de la dépression a augmenté massivement, de 25 %. En effet, si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes dépressifs. D’après de nouvelles statistiques de l’étude collaborative de l’OMS/Europe sur le comportement des enfants d’âge scolaire en matière de santé (HBSC), 1 adolescente finlandaise de 15 ans sur 5 a signalé mal vivre sa vie quotidienne en 2022. Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, avait déclaré que « les informations dont nous disposons actuellement sur l’impact de la COVID-19 sur la santé mentale dans le monde ne sont que la partie émergée de l’iceberg ». Pourtant c’est l’OMS qui a davantage encouragé ces politiques « enfermistes », comme toujours, l’OMS est dans son rôle favori celui du pyromane qui se fait pompier.
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Comme le criminel qui revient sur les lieux de son crime, l’OMS contemple les dégâts qu’elle a occasionnés…