Le Forum Mondial des Dirigeants d’Universités (en anglais : GULF), émanation du WEF de Klaus Schwab, généralise le modèle du GIEC (sorte de Congrégation pour la doctrine de la foi climatique) à l’ensemble des objets de la prise de décision politique des sociétés humaines (rebaptisés « risques » en davosien dialectal).
Comme le WEF lui-même, le GULF est une organisation invitation only, fondée sur la cooptation : comme dans le Parti Communiste d’Union Soviétique, il dépend des membres déjà agréés qu’un nouveau candidat soit admis ou non. A ceci près que, en Union Soviétique, de pénibles parodies électorales assuraient le maintien de la fiction selon laquelle les caciques à la tête du parti se seraient soumis à la sanction du vote de l’ensemble des citoyens soviétiques.
Le WEF, lui, ne s’inflige pas ce genre d’enfantillages : juridiquement structuré en ONG, il vit des cotisations de ses membres cotisants – eux aussi cooptés, mais, vu le montant des cotisations, les non-milliardaires ne risquent pas trop de se présenter. Pas de rétroactions, donc : le vecteur de l’influence est monodirectionnel, si bien que les « experts » de Davos (généralement rémunérés d’une façon ou d’une autre) se retrouvent exactement dans la situation des salariés d’une entreprise privée de type SARL : au service des proprios.
Au nom du WEF, de l’ONU et du GULF, Davos baptise à la seringue
Dans ces conditions, comment peuvent-ils prétendre que leur rapport à la réalité qu’ils expertisent n’est pas soumis à l’impératif hiérarchique de plaire aux darons ? Et comment ces derniers – capitaines du grand capital monopolistique de leur état – peuvent il espérer nous faire croire (voire croire eux-mêmes) qu’ils ne vont pas bassement abuser de cette expertise prostituée ?
Réponse simple : par la foi. Répétant en boucle les mantras « verts et inclusifs » de cette théocratie pseudo-bouddhiste, les cardinaux cotisants et prêtres entretenus de Davos se déclarent en permanence « activistes », c’est-à-dire inspirés par la grâce davosienne (a.k.a. « résilience »), et méritant subséquemment la « confiance » (chère à Ursula) des croyants. La confiance, étymologiquement, c’est la foi.
Il n’est donc pas étonnant que, en Occident, la résistance la plus acharnée à cette révolution théocratico-oligarchique vienne – comme à l’époque de l’Inquisition – de scientifiques comme Robert Malone ou Pierre Chaillot – et notamment de ceux qui ont buté sur l’épouvantable mensonge du dogme vaccinaliste.
Bien dit!
Malone s’est fait connaître au public en expliquant au monde entier qu’il s’était fait injecter le bidule ARN, mais, dans la même vidéo, que les parents devaient faire la révolution pour protéger leurs enfants contre ce même bidule ARN sans jamais dire en quoi consisterait au juste la différence entre les enfants et les adultes. Donc… exit Malone, sans indulgence et sans sommation. (Note: Les fâcheries entre les graphènophiles et Malone ou l’Eisenhower Fellow ne sont bien sûr que du théâtre, jeux de rôles d’agents entre eux auxquels nous sommes maintenant habitués, destinés à les relégitimer, chacun auprès de son public respectif.)
Pierre Chaillot au contraire a fait partie des auteurs ayant montré que la maladie dite Covid 19 n’existe pas et n’a jamais existé. Il n’est par conséquent pas du tout dans la même catégorie, même si le petit prêtre du Monde-d’après Fouché, qui a soigneusement fait vivre la maladie imaginaire pendant 3 ans à travers le pseudo-conseil pseudo-scientifique pseudo-indépendant, vigile consciencieux du chenil attenant spécialisé en odorat canin, tente de tenir leurs deux mains à la fois…
Confondre agents (faisant exister la maladie imaginaire) et résistants (démontrant qu’elle n’existe pas), c’est finalement ne pas entendre grand chose à l’intrigue de la tragi-comédie qu’on nous joue…
Alors, pour se débarrasser de cette confusion, hop! l’antidote (d’autant que Michael Yeadon vient de rejoindre hier nos positions avec une grande clarté et pour notre plus grand plaisir):
https://alpinismesansguide.blogspot.com/2023/02/la-maladie-dite-covid-19-nexiste-pas.html?m=1
Il y a bien des virus qui ont circulé
Il y a bien des mutations
Il ne faut pas dire n’importe quoi
Par contre là où vous avez raison c’est qu’il n’y a rien eu de neuf par rapport aux années passées où il y avait déjà des virus respiratoires, des mutations tout ce qu’il y a de plus normal sauf qu’on y prêtait pas toute cette attention
Mais il ne faut pas partir dans l’extrême inverse et nier l’existence de virus respiratoires ce serait déshonorer les personnes qui décèdent chaque année de ce type de maladie par manque de soin, déficience immunitaire ou autre
Pierre Chaillot a fait un excellent travail depuis le début mais il n’a jamais dit qu’il n’y avait eu aucun virus
Il explique très bien que la situation n’avait rien de très inhabituel
J’espère qu’il pourra accéder aux dernières manquantes et essentielles : le statut vaccinal (0 dose, 1 dose, etc…) de toutes les personnes décédées toutes causes confondues ; à ce moment là ce serait end of the game
C’est un peu le défaut de Christophe D de prêter à des acteurs du théâtre covid des sentiments qu’ ils n’ ont pas voire des écrits qu’ ils n’ ont pas commis et en en tirant des extrapolations non abouties..
Nous n’avons écrit nulle part que les virus n’existent pas, que le phénomène infectieux n’existe pas, et que l’espèce humaine est immortelle. Vous devez confondre avec vos collègues qui servent le narratif du taux vibratoire, de Béchamp, des hydres-aliens dans le bidule ARN, des nanobots, de l’aimantation, des puces bluetooth, bref, vos graphénophiles…
Puisque vous nous jouez collectivement, depuis quelques jours et en direct de Davos, le chantage médical du respect dû aux morts, en vertu duquel on devrait accepter les mensonges, sachez que la mort n’a pas attendu l’escroquerie sanitaire de 2019 pour s’imposer sur terre, puisqu’elle remonte, comme nous l’enseignait notre professeur de biologie Balésio, à l’apparition des premiers organismes pluri-cellulaires. Au moins maintenant, vous venez d’acquérir votre première connaissance en biologie, ça vous changera des techniques de propagande…
Je m’en veux d’avoir écorché le nom de mon ancien excellent professeur Roland Ballésio, qui parlait bien entendu de la mort naturelle.
Autrefois, pour conquérir un pays, il fallait une armée. Bien que cette méthode ne soit pas obsolète, il est beaucoup plus efficace de subvertir les élites et de contrôler la presse. La méthode, pas nouvelle mais favorisée par les progrès scientifiques, est exposée dans maints documents. Le travers démocratique, qui veut que la majorité ait raison, faut le reste.
TV-Pravda nous sert maintenant chaque soir la météo dans le cadre du réchauffement-changement climatique. Si les citoyens ont oublié que la contextualisation d’une information est capitale, nos maîtres le savent parfaitement et l’exploitent.
Parallèlement, un projet d’endoctrinement, pardon de “sensibilisation”, à destination de tous les cadres de la fonction publique et des agences va être déployé, de manière à les mobiliser sur la transition énergétique, nouvelle planche de salut d’une humanité en perdition.
Au moins, l’ex-URSS de Staline ne prétendait pas sauver le monde entier.
Eh ouais les virus et le carbone c’est comme Dieu, tant qu’on ne les voient pas, on peut leur faire dire n’importe quoi.
Je vais donc radoter Michel Audiard : “les cons sur orbite n’ont pas fini de tourner”.