L’opération spéciale des forces armées russes pour démilitariser et dénazifier l’Ukraine a semé un espoir en Occident : celui que Moscou n’aurait pas assez de ressources pour conserver son attention sur la région d’Asie centrale et pour développer la coopération avec les républiques qui en font partie. Ainsi, un an après le début du conflit, les analystes occidentaux affirment que l’influence de la Russie dans la région a diminué, sans avoir néanmoins complètement disparu.
Cet article initialement publié sur le site vpoanalytics.com n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Derrière la volonté de l’Occident d’évincer la Russie de l’Asie centrale se cache le désir d’accéder à ses ressources énergétiques. Il s’agit d’une stratégie globale des États-Unis, dont la mise en œuvre implique un certain nombre d’acteurs régionaux.
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