La Chine moderne est un immense pays-civilisation, dont le développement dépend de son intégration dans le monde extérieur et, simultanément, de sa capacité de protéger l’identité du système politique ainsi que de sa structure sociale. Par conséquent, les problèmes auxquels est confrontée la RPC sont aussi fondamentaux que les réalisations du gouvernement et du peuple chinois au cours des 30 à 40 dernières années. Les autorités comprennent à quel point ce sera difficile pour le pays dans les années à venir et combien de personnes, appartenant à l’élite, aux hommes d’affaires et aux gens ordinaires, ne voudront pas changer leur mode de vie habituel.
Cet article publié en russe par le site vz.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Le gouvernement est confronté au défi de trouver constamment un équilibre entre le confort continu et les changements douloureux, tant au plan interne du pays qu’en politique étrangère. En outre, le confort, et un niveau de vie relativement décent, sont devenus récemment accessibles à la plupart des Chinois ordinaires. Il en résulte qu’il est d’autant plus difficile de convaincre la population que le nouveau positionnement du pays dans le monde peut créer inévitablement des risques de remises en cause.
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La Chine est paisible et devient très prospère. Les chinois sont des personnes éduquées qui font des études et même des études à l’étranger, comme dans la plupart des pays dits développés.
Les occidentaux ont institué à travers l’ONU les “droits universels de l’homme” comme principale institution de paix. Ils prétendent même qu’il n’y aura pas de paix sur cette planète tant que les droits de l’homme seront violés en quelque partie du monde que ce soit.
La France macroniste a beau jeu de violer les droits de l’homme pour affirmer l’etat d’urgence ou de guerre. Idem pour les USA socialistes.