Les dernières centrales nucléaires vont être fermées, les centrales à charbon devraient suivre. Sous la direction du ministre de l’Economie et de l’Energie Robert Habeck, l’Allemagne met en danger non seulement sa propre économie, mais aussi celle de l’Europe. Olaf Scholz permet à ses ministres d’agir comme des activistes de la « dernière génération » : de manière spontanée, émotionnelle et irresponsable. Irresponsable parce que l’Allemagne, en tant que nation industrielle, joue un rôle de leader en Europe. Les économies des pays voisins sont étroitement liées et en partie dépendantes de la République fédérale. Irresponsable également parce que l’Allemagne contribue considérablement à l’affaiblissement de l’économie européenne et favorise les objectifs des économies concurrentes, comme les États-Unis ou la Chine.
Le 15 avril, la période d’exploitation des centrales nucléaires d’Isar 2, de Neckarwestheim 2 et d’Emsland dans les Länder allemands de Bavière, de Bade-Wurtemberg et de Basse-Saxe doit prendre fin. « Irréversible », c’est ainsi que le ministre allemand de l’Economie Robert Habeck qualifie la sortie du nucléaire. C’est ce que prévoit l’accord de coalition. C’est ce que veulent les Verts. Deux tiers des Allemands estiment – selon un sondage récent – que ce n’est pas une bonne idée. Ils sont favorables à la poursuite de l’exploitation des centrales dans un premier temps. Le choc des prix de l’énergie est encore présent dans de nombreux esprits. Le prix du gaz a atteint son maximum à l’automne dernier, avec un peu plus de 40 centimes d’euro par kWh. Même si les prix de gros ont entre-temps à nouveau nettement baissé, cette réduction est encore loin d’avoir atteint le consommateur.
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