Cinq ans après la signature d’un accord entre le Saint-Siège et Pékin, le bilan est désastreux. Retour sur une innovation du Pape François, qui pose plus généralement la question de l’oubli des leçons du XXè siècle concernant les relations avec un régime communiste.
En 2018, le Vatican a signé un accord provisoire avec le Parti communiste chinois (PCC) sur la nomination des évêques catholiques. Ce faisant, le Vatican a reconnu l'”Église patriotique” chinoise, créée et contrôlée par le Parti Communiste Chinois, ce à quoi les prédécesseurs de François s’étaient toujours refusé.
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