Alors que la crise de confiance bancaire (sur laquelle nous vous alertons depuis plusieurs semaines) continue à bas bruit, une autre crise pourrait prendre forme aux Etats-Unis et mettre en difficulté les places financières mondiales : Joe Biden et Donald Trump se livrent aujourd’hui un duel sur le relèvement névralgique du plafond de la dette publique. Le risque de défaut commence à stresser les observateurs. S’il s’agit là d’un sujet très classique, pour ne pas dire redondant, l’intensité de la rivalité entre les deux hommes pourrait déboucher sur un conflit ouvert aux conséquences désastreuses. Nous répétons notre avertissement sur les risques d’une crise financière majeure à l’horizon du mois de septembre.

Aux Etats-Unis, la situation financière devient de plus en plus compliquée. Nous vous alertons régulièrement sur les difficultés qui atteignent les “soubassements” du système financier américain, en particulier sur les lézardes périlleuses qui apparaissent dans le système bancaire. Mais cette crise dont nous pensons qu’elle risque d’éclater à la rentrée de septembre pourrait être accélérée ou aggravée par la crise de la dette publique : Joe Biden peine en effet à trouver un accord sur le relèvement du plafond de la dette.
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Cette tragicomédie ne cesse de se répéter depuis des décennies et se terminera à minuit moins trois minutes comme d’habitude.
D’ailleurs ça a l’air de terroriser les bourses : le CAC n’a pas bougé depuis une semaine et il est bien vert aujourd’hui…
C’est toujours la même comédie. Ça se dispute et quelques heures avant que le couperet tombe, tout le monde est d’accord pour relever le plafond.
Si vous pensez que les Reps valent mieux que les Dems, vous allez déchanter.
👍 Nice haircut Mister President 💇♂️
Les Américains peuvent compter sur MAGA nous pas; le pays des socialo forever. 🇫🇷
Les usains peuvent surtout compter sur le fédéralisme qui un super atout avec des états CONSERVATEURS rouges et les DEMAMOCRATES! “bidennés” bleus. Je suis un lecteur assidu de la page FB de Marc Amblard avocat français bossant dans son propre cabinet en Floride, à Fort Lauderdale et dont je recommande chaudement les analyses. Voilà ce qu’ il nous apprenait il y a une petite semaine..
Marc Amblard
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“USA – L’EXODE DES ETATS BLEUS (GAUCHE) VERS LES ETATS ROUGES (CONSERVATEURS) S’ACCÉLÈRE
Ce mouvement de fond observé depuis plusieurs années ne faiblit pas, bien au contraire.
Une première observation : plus de 61% des comtés qui ont voté pour Biden en 2020 ont perdu de la population, tandis que 65% des comtés soutenant Trump ont gagné de la population.
Une seconde : les données de l’IRS montrent une perte de revenus de New York de 24,5 milliards $ en 2021, contre 19,5 milliards $ en 2020 et 9 milliards $ en 2019. La Californie a perdu 29,1 milliards $ en 2021, soit plus du triple de ce qu’elle a fait en 2019.
Les États bleus perçoivent donc de moins en moins de recettes fiscales de la part de leurs électeurs en fuite qui, dans des élections frauduleuses, ne peuvent voter qu’avec leurs pieds.
C’est là un véritable cercle vicieux attendu que ces États auront de moins en moins d’argent à dépenser pour leur entretien et leur sécurité, provoquant encore plus de départs.
La fiscalité amplifie ce phénomène : les démocrates de l’état de New York ont du augmenter le taux d’imposition à 14,8% contre 12,7%. Mais plus la fiscalité s’élève et plus les habitants fuient. Problème insoluble pour les socialistes.
Les États rouges en profitent bien sûr. Notamment le Texas, l’Indiana, la Caroline du Nord, le Wisconsin et bien entendu la Floride qui devient le plus gros bastion conservateur du pays.
Fait révélateur : le milliardaire Ken Griffin a déplacé son fonds d’investissement à Miami, reprochant à Chicago de ne plus être en mesure de contrôler la criminalité.
Conséquence politique directe : ces migrations impliquent une baisse de la représentation au sein du congrès à Washington : le recensement de 2020 a vu la Californie, New York et l’Illinois perdre des sièges au Congrès au profit des états rouges précités. Et encore, des « irrégularités » dans le recensement ont limité les transferts. Au surplus, le recensement a été réalisé avant le grand bazar covidien.
Nul doute que les sièges perdus seront encore plus nombreux d’ici 2030.
Comme l’a déclaré en septembre 2019 un ancien président devant la très mondialiste O.N.U., l’avenir appartiendrait-il aux patriotes ?
Marc Amblard – 03.05.2023”..
https://www.facebook.com/marc.amblard.7
DSL pour les fôôôtes ! ..
@Ledredon Oui. À vérifier que ces fuyards ne contaminent pas leur État d’accueil comme c’est arrivé en Arizona ou au Colorado. Bien souvent ça se finit par plus de votes pour les Démocrates ou les RINO.
pour les *Democrades