Quelle réponse apporte la Chine face aux menaces du G7 ? par Observatoriocrisis

Comme pour se rassurer, l’Occident communique un discours de vassalisation de la Russie par la Chine, ou encore le risque que la Sibérie soit un jour inexorablement envahie par les forces chinoises. Un vieux marronnier. Cela montre que le déni des réalités devient désormais la marque de fabrique de « G7 et Cie ». Or, dans toute l’histoire de la Chine, celle-ci n’a jamais engagé de conquêtes militaires hors de ses frontières ou même de colonisation de territoires. Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’a pas utilisé et n’utilise pas encore aujourd’hui son pouvoir d’influence. En réalité, Pékin joue plutôt la conciliation. Voici un regard espagnol provenant du site « Observatorio de la crisis » – de gauche, soulignons-le, et largement suivi en Amérique du sud – sur la coopération sino-russe qui semble nourrir beaucoup d’espoirs dans de nombreux pays à travers le monde.

Cet article publié par le site observatoriocrisis.com n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

Grâce à des actions pragmatiques, la Chine et la Russie continuent d’enrichir leur partenariat stratégique global de la nouvelle ère qui s’annonce. Ce faisant, ils esquissent un profil plus clair d’un nouveau type de relations internationales. Non seulement cela donne au monde un élan de développement, mais cela sert également de point de référence précieux, et donc, de modèle. La résistance de la Chine et de la Russie à l’ingérence occidentale s’est considérablement renforcée, et les propos critiques des États-Unis et des pays du G7 servent de motivation pour de nouveaux progrès.