D’après l’étude américaine d’une certaine Maria Yagoda, relayée par Elle, « les jeunes seraient de moins en moins satisfaits par leur vie sexuelle. » A force de se faire enfermer sous prétexte grippal ? – Pas du tout. Du fait des ravages du féminisme (alias : propagande de haine du mâle) ? – Que nenni. La vraie raison, c’est qu’ils ne lisent pas suffisamment l’experte Maria Yagoda.
A voir les taux de suicide chez les jeunes, on se dit qu’en effet, au lit, ces temps-ci, ça doit pas être folichon d’avoir 20 ans. Occupés à chercher les meilleures soupes populaires et à s’excuser d’émettre du dioxyde de carbone, le peu de temps qui leur reste passe à regarder des renards argentés millionnaires du genre Bruno L. se vanter des dilatations comme jamais que leur réserve la société de consommation.
Voilà donc une grande cause à la hauteur des ambitions humanitaires de Elle, revue féminine, qui consacre donc 50% de son énergie à abrutir les femmes, et les 50% restants à s’indigner qu’on puisse les prendre pour des abruties.
Procédant conformément aux canons de l’expertologie, Elle est pour cela allé puiser dans la science d’une autrice américaine, Maria Yagoda.
Maria Yagoda, la Bruno Le Maire de la sexologie
Tout naturellement, cette sémillante trentenaire, journaliste spécialisée en gastronomie, va, chez ces jeunes souvent privés du pain quotidien de l’amour, déplorer un tragique manque de know-how en matière de brioche. Ils devraient, à l’en croire, « apprendre à communiquer » – entre deux confinements, s’entend –, de façon à éviter le « sexe de mauvaise qualité ».
Le moment semblerait donc bien choisi pour rappeler à Maria Yagoda la maxime de Woody Allen : « En matière de sexe, la qualité compte plus que la quantité – mais quand la quantité tombe sous 1/an, il faut quand même se poser des questions. »
Maria Yagoda, elle, s’en pose assez peu. Projetant visiblement sur la génération des dépossédés du Great Reset ses propres frustration de rejeton blasé de la bourgeoisie intellectuelle, elle s’alarme avant tout de la multiplication des relations insatisfaisantes. En cause, bien sûr : des « modèles sont souvent édulcorés, patriarcaux et sexistes ».
Et ceux qui rêveraient d’une bonne partie de jambes en l’air « édulcorée, patriarcale et sexiste » ? Maria Yagoda a réponse à tout : ils devraient se masturber davantage.
La “malbaisance”… C’est ainsi que l’Occident se termine (à tort), comme l’écrivait noir sur blanc M. Schwartz naguère…
On notera en tout cas les prédispositions onomastiques des représentantes du Guépéou féministe…
A la une aujourd’hui, les hunes glauques de slogans estampillés République Française, sur tous nos arrêts de bus, pour nous pârler de sexe (avec un petit â), que ça parle que bouse. Après “adopte”, en rouge et noir, aussi pourri, carrément sur les bus, après le duel Narcisso rodriguez vs Dolce gabana, Tout cela, est complètement ridicule. Un gars, des gars de la Paloche voient ça! On est bêtes les travailleurs, mais au fond, on s’en fout, car la plupart du temps, on tient la boutique, de ces tarés. Leur hune, n’est pas du tout le navire. Ciao Pantin?