La montée en puissance des BRICS – lesquels pourraient demain constituer une sérieuse alternative à une ONU largement inféodée aux États-Unis – doit conduire tout observateur sérieux de la scène internationale à prendre en considération l’opinion des pays hors du champ de l’Occident : l’Asie-Pacifique, l’Asie centrale, le Moyen-Orient, l’Afrique et, bien évidemment le continent Sud-Américain. Et dans cet exercice salutaire de lecture et de réflexion critiques, force est de constater que les analyses ne plaident pas en faveur des États-Unis et de l’UE, en ce compris l’OTAN, dont l’horizon vise désormais l’indo-pacifique. Nous publions ici un texte de Chems Eddine Chitour, scientifique algérien, professeur émérite à l’École Polytechnique d’Alger et homme politique (ancien ministre) qui apporte son éclairage personnel sur la réunion du G7. Un point de vue important au moment où l’Algérie fait acte de candidature pour entrer dans les BRICS.
Cet article publié par oumma.com n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
« Nous querellons les miséreux pour mieux nous dispenser de les plaindre » – Vauvenargues
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Une belle conclusion que j’appelle de mes vœux
Le vivre ensemble mais même ça du fin fond de la Nouvelle Caledonie est tellement politisée par l’histoire que l’Etat français et nos politiques reste sourd aux attentes bien plus bienveillantes des populations