Il y a deux semaines, l’auteur de ces brèves n’a pas ménagé Jean Messiha et sa douteuse cagnotte, qui tendait plus d’une perche à l’agenda sécuritaire du régime. Raison de plus pour prendre sa défense, maintenant qu’il se retrouve dans le collimateur d’une offensive judiciaire aux présupposés encore plus alarmants – avec, malheureusement, la participation de la mère de Nahel, qui semble participer de bonne grâce à cette instrumentalisation politique du drame.
Exprimée dans le feu des événements, mon opinion n’a néanmoins pas changé depuis lors : ladite cagnotte constituait un geste politiquement irresponsable, témoignant – d’un point de vue moral – d’un opportunisme peu reluisant, mais un geste légal, dont la possibilité doit être assurée par tout régime se targuant de pluralisme et de liberté d’expression.
Or c’est justement du point de vue de la liberté d’expression que l’enquête récemment lancée sur cette cagnotte – et, plus encore, la plainte, émanant officiellement de la mère de Nahel, qui justifie cette enquête – constituent des phénomènes inquiétants.
Reprochant à Messiha d’avoir « révélé les informations du fichier du traitement des antécédents judiciaires de Nahel afin de le ‘criminaliser’ », les auteurs de la plainte (formellement cachés derrière le corps d’une mère éplorée) ne peuvent pourtant pas feindre de penser que l’identité du mineur, au moment du lancement de la cagnotte, aurait encore joui de la moindre confidentialité.
Valeurs transversales : le simplisme et la culture de l’excuse
Pour autant qu’on puisse le regretter, la bavure tragique qui l’a frappé en avait fait – à titre posthume – un personnage public, dont plus personne en France n’ignorait certains antécédents – comme son origine ethnique, amplement thématisée dès le début par les chantres de la croisade contre le racisme systémique.
D’où la question : une fois ce nom jeté en pâture au public, de quel droit voudrait-on criminaliser la publication d’autres informations – à savoir : ses antécédent judiciaires ?
Entre la tentation (fréquente chez les pigeons de Messiha) de nier la bavure (en dépit des antécédents… du flic), et celle d’ériger en saint et martyre (façon George Floyd !) un adolescent à qui il semble que seul son âge mineur épargnait encore le statut de délinquant d’habitude – on voit se former une curieuse conspiration spontanée des incendiaires à l’insu de leur plein gré, qui ne peut pas ne pas rendre service à un régime aux abois…
Quand on voit qui fait de la mère de Nahel une marionnette, on peut légitimement se demander d’où vient l’argent de la cagnotte pour ce jeune…Même avocat, mêmes t-shirts, même façon d’haranguer les foules et de surchauffer les esprits…
“d’un point de vue moral – d’un opportunisme peu reluisant, mais un geste légal, dont la possibilité doit être assurée par tout régime se targuant de pluralisme et de liberté d’expression.”
Comment peut-on ecrire cela!.
La tentative d’ouvrir un cagnotte francaise a échoué car elle ne respectait pas les lois de la republique française. Qui ne respecte pas les lois est un délinquant. Donc ce n’est pas legal. Les cagnotte Leetchi et autre gagnotte francaise ont refusé pour ne pas tomber sous le coup de la loi.
Il a fallu ouvir une cagnotte sous le regime du droit état-unien. Non la liberté d’expression n’autorise pas tout. Essayez donc d’organiser un simple sondage sur une de decision de justice sur un individu :c’est interdit en France. Laisser la justice faire son travail sereinement. Elle serait donc laxiste envers les délinquants et impitoyable avec les innocients ? On s est vite empressé de faire fuiter le casier judiciaire du jeune mais on s est bien gardé de faire fuiter celui du mise en examen. Si on veut parler liberté d’expression, Le sujet sur le faux en ecriture publique visiblement n’est pas vendeur. Il serait temps que l’on ouvre le débat sur ce sujet là. Vu le nombre d’homme et de femmme politique condamnés en France, au nom de quoi la parole d’un représentant de l’état aurait plus de valeur que celle du citoyen surtout lorsque l on refuse les moyens techniques qui permettent de s’en assurer. Ouvrons le débat sur l’égalité de la liberté d’expression. Ouvrons le debat sur qui vient manisfester devant les tribunaux, ouvrons le débat sur qui fait du chantage de se mettre sur pause si les décisions de justice ne sont pas en leur faveur. L état de droit n’est pas l état policier. Paradoxalement, il y a bien moins de sujet à débattre avec la gendarmerie. Se pose t on la question de ce qui marche bien chez eux ? Une trop grande parti medias sont devenus le café du commerce.
Comme Traore, Sosok deviendra probablement une marque déposée à l’INPI.
Derrière la famille Traoré nous savons qu’il y a le financement de Georges Soros qui veut détruire les nations pour établir le gouvernement mondial. La mère de Nahel sera instrumentalisée et financée par la même Soros, (qui vient de passer la main à son fils qui sera peut-être plus raisonnable ou plus agressif ? ) La police devrait menacer de programmer une journée de grève, ce jour là les pillages et les viols seront à un tel niveau que la Nupes suppliera le retour de la police.
Quels “antécédents du flic” ?