Faut-il vraiment s’étonner du retour de boomerang qu’a essuyé le journal Libération, en réponse à la polémique qu’il a lancée sur la scandaleuse blancheur du peloton du Tour de France ? Ne rate-t-on pas, en s’engageant dans cette polémique, une bonne occasion de remettre en cause le dogme de la discrimination positive ?
Personne ne semble s’étonner de la surreprésentation des sub-saharien en football, ou de leur quasi-absence en natation : il existe en effet des caractéristiques physiologiques clairement décrites, qui les favorisent dans un cas, et les pénalisent dans l’autre. Le cyclisme est-il du nombre de ces disciplines structurellement discriminantes ? Quoi qu’il en soit, gageons que les directeurs d’écuries cyclistes sont mieux placés pour en juger que les journalistes de Libération.
On touche ici un point essentiel de la critique de l’idéologie de la discrimination positive : on choisit toujours ses collaborateurs un peu comme on choisit son conjoint, ou comme on approuve le choix d’un gendre. En d’autres termes : la subjectivité intervient, le seul moyen de la proscrire étant de réglementer chaque embauche comme si elle relevait de la fonction publique – situation dans laquelle de telles contraintes sont justifiables : les contribuables non-blancs doivent pouvoir exiger un accès sans discriminations aux fonctions que leurs impôts financent.
Libération : ces parasites blancs qui nous coûtent trop cher
Théoriquement, Libération, en tant qu’organe de presse privé, devrait, comme les équipes sportives susmentionnées, être à l’abri des inquisiteurs de la correction politique – par exemple : des journalistes de… Libération.
Compte tenu, néanmoins, du fait qu’en pratique, ce torchon de propagande aurait disparu depuis longtemps sans la perfusion constante dont il bénéficie de la part du complexe public/privé formé par l’Etat et la Caste du capitalisme de connivence (cette dernière vivant, elle aussi, à nos crochets), on pourrait, après tout, donner raison à l’auteur du tweet accusant Libération de tartufferie.
Dirigé par un ancien officier du renseignement israélien, ce journal en pointe de tous les combats diversitaires devrait en effet, au titre des trop nombreux euros d’argent public qu’il encaisse dans un pays comptant au moins 10% de musulmans citoyens et contribuables, engager beaucoup plus d’arabo-musulmans pour assurer son service de promotion agressive de l’idéologie du métissage.
Sans quoi, on pourrait facilement se mettre à soupçonner les connivents de Libération d’avoir deux poids et deux mesures.
avez-vous déjà vu passer le peleton de tête du tour de France. ils ont tous le même gabarit : petit mince (genre Macron). Chaque sport à sa morphologie adaptée pour les meilleurs résultats basketteur, nageur, perchiste etc. oui c’est un cran au dessus de la couleur de peau, c’est de la ségrégation par mensurations basée sur des critères relevant purement de la physique qui rendra tel ou tel mouvement plus efficace…