Le très-laïc Gabriel Attal remplaçant le très-indigéniste Pap Ndiaye à l’Education, en termes de com’, c’était un petit coup de barre à droite pour mieux faire passer crème l’abandon de l’alternative Darmanin. Dans la réalité des jeux de pouvoir, en revanche, il se pourrait que ce ministère soit en réalité un lot de consolation, moyennant un retrait d’Attal en sa qualité de candidat présumé à la Mairie de Paris, favorisant la non moins résistible ascension de Rachida Dati.
Globalement dénué de compétences professionnelles en dehors de la récitation litanique des chiffres truqués de « décès Covid », le SNU-Führer Gabriel Attal vit une ascension politique fulgurante, dont les raisons véritables sont rendues indicibles par une série de lois scélérates et une très zélée 17e Chambre.
En bondissant du petit ministère qu’il occupait dans le cabinet Borne de printemps jusqu’au fauteuil de l’Education, il semble néanmoins qu’il ait brûlé quelques étapes.
Du coup, pendant que les naïfs se demandent encore « ce que signifie politiquement » cette nomination, ceux qui ont compris l’essence de cette République des Dircabs n’ont qu’une question à la bouche : qu’est-ce qui a bien pu lui valoir ce rab de promotion ?
Saoudisation : Paris vaut bien un deal Attal/Dati
Brochant sur une hypothèse du Point, Gala – effectivement le titre de presse le mieux à même de s’occuper de l’objet Attal – subodore « un deal » (sic) concernant un autre fromage notoirement convoité par l’ambitieux Attal : la Mairie de Paris.
Excellent interprète de tous les mantras progressistes dont ils raffolent, Attal est en effet, du fait de son homosexualité affichée, encore plus représentatif des bobos macronistes du centre-ville que ne l’est une Anne Hidalgo fatiguée, peinant un peu à les suivre dans leur dérive néo-conservatrice face au spectre des barbares.
Mais voilà : pour incarner cette droitisation du bobo, la Macronie pense avoir encore mieux qu’Attal : la beurette sécuritaire Rachida Dati, qui a appris plus d’une technique de soft-gouvernance sous Sarko.
Or, dans toute aristocratie/maffia, un retrait à l’amiable, ça se compense. C’est ainsi que le compagnon de Stéphane Séjourné aurait obtenu les appartements particulièrement spacieux qui lui ont été alloués dans le cadre du cabinet d’été de l’immuable Borne.
A en croire le Point, c’est d’ailleurs le Dircab des Dircabs, Manu ben Macron lui-même, qui serait l’auteur du deal.
C’est la république des copains coquins . La France, ils ne la connaissent qu’en vaines paroles.
Lire dans “Crépuscule” de Juan Branco comment Attal a été “repéré”. En 2017, personne ne le connaissait…
Saoudisation ?????? Avec Dati ,Attall, Attali, Niels, BHL Cohen, Zemmour, Bollore, Buszin , Elkrief, parlons Drahi, Nous parlons kici de Judaisation.