Gabriel Attal croit, comme quasiment tout ses prédécesseurs, qu’un ministre en charge de l’Éducation Nationale a juste à émettre des oukases depuis Paris pour faire changer les choses. Alors qu’il est urgent de libérer les forces et donner une autonomie véritable aux établissements. Rappel des propositions du Courrier des Stratèges pour libérer l’École et l’Université.
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Je pense qu’un doit fonctionner par objectifs pour les diplômes officiels: un contrôle du niveau des diplômes délivrés et définition des objectifs à atteindre pour obtenir la certification de la formation. Comment on y arrive n’est pas le problème de l’administration. Seul le résultat compte. laissons faire la créativité des enseignants. Par contre, l’examinateur (certificateur) ne doit pas être celui qui a formé: on ne peut être juge et partie. Que l’Etat garantisse le niveau de certaines formations est une manière de limiter les coûts d’information. Cela n’empêche pas d’autres diplômes.
Pour le reste, liberté complète.
1/En ayant longtemps écouté les enseignants se plaindre il est évident que le mammouth bureaucratique écrase la bonne volonté des enseignants au contact des élèves, mais syndicats et secrétaires académiques ont un poids disproportionné. 2/L’autre grand problème de l’enseignant est la disparition de la discipline qui est en grande partie due au collège unique et au refus socialiste des classes de niveau. Les élèves en échec perturbent les élèves qui veulent travailler et ce sont les enfants de l’immigration qui sont les premiers pénalisés, il y aurait des enfants d’immigrés qui réussissent l’intégration voire l’assimilation se ferait simplement comme dans l’empire romain. 3/ oui à l’autonomie des écoles et au choix de l’école par les parents ( il faudrait s’inspirer du modèle suédois)