Elon Musk fait la une des journaux depuis des années. Avec des hauts et des bas… Le propriétaire de Tesla, SpageX et Twitter est considéré comme un génie touche à tout. Un nouveau livre prouve cependant qu’il y a encore beaucoup à apprendre sur cet homme parmi les puissants de ce monde et l’un de plus riches. Musk a permis à Walter Isaacson de le suivre pendant trois ans pour que celui-ci fasse sa biographie, laquelle vient de sortir le 12 septembre dernier. L’on peut ainsi avoir un aperçu de l’esprit de l’innovateur et milliardaire dont on peut supposer qu’il entrera en politique, à un moment ou à un autre.
Cet article initialement publié sur le site africa.businessinsider.com n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Certes, dans une interview accordée à France 2 à l’occasion du salon VivaTech en juin dernier, l’entrepreneur avait assuré qu’il n’avait pas l’ambition de devenir président des États-Unis. Mais pour autant, on peut faire de la politique de diverses manières et le rachat de Twitter semble le prouver lorsque Musk entend par ce réseau de défendre la liberté d’expression. Musk, faut-il le préciser, a une idéologie libertarienne claire et assumée depuis toujours. Cette biographie contient de nombreux détails, et aussi des révélations sur le rapport de Musk à l’Ukraine, ainsi que des indications sur son éthique de travail mais également ses sautes d’humeur. Ce n’est pas tant la dimension « people » qu’il convient de prendre en compte ici, mais bien plutôt de cerner le caractère de ce personnage hors du commun et sa façon d’influencer le cours des choses, dans un environnement mondial en pleine mutation. Le livre permet ainsi de dégager huit traits d’image.
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la partie, pour moi, la plus intéressante est le couplet sur la propension de la personne à s’intéresser aux “théories du complot”… vraiment ce type dérange, on ne peut que l’admirer.
tout ce qui concerne, finalement, sa façon d’être ou surtout, ce que pensent les américains formatés de sa façon d’être, franchement… on s’en fiche royalement.
Des parents à problèmes, des coups de gueule, des préférences et des dégoûts, on en a tous et tout le monde devrait s’en foutre royalement aussi.
Bref, ce type n’est pas formaté pour la dictature médiatico-sociétale.