Ce jeudi 12 octobre, le CHU (Centre Hospitalier Universitaire) de Reims a confirmé l’hospitalisation d’une femme contaminée par le virus de la rage lors de son séjour dans un pays du Maghreb. Elle a été prise en charge immédiatement, mais le lundi 9 octobre, elle est décédée. Maladie mortelle, la rage fait encore 60.000 décès dans le monde chaque année. L’Agence régionale de santé Grand Est va évaluer si les soignants en contact avec la patiente décédée ont besoin d’un vaccin antirabique.
La rage, malgré son éradication en France depuis 2001, reste une maladie à déclaration obligatoire. Les autorités sanitaires ont identifié les soignants en contact avec la patiente pour évaluer la nécessité d’une vaccination. Il est souligné que la transmission interhumaine de la rage n’a jamais été démontrée, mais le risque théorique justifie des mesures préventives.
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