On peut comprendre que l’élite financiaro-industrielle qui domine le monde depuis deux siècles, et qui est arrivée au faîte de sa puissance depuis une trentaine d’années, n’envisage pas de renoncer aux privilèges exorbitants que lui confère cette situation. Pour autant, doit-elle s’appliquer méthodiquement, comme elle le fait, à se couper du reste du monde ?
« La situation de monopole est la meilleure, surtout pour celui qui le détient ». Ainsi parlait de Gaulle qui avait compris depuis longtemps quel était le jeu des « Anglo-saxons », désignant ainsi cette oligarchie et ses représentants, dont il avait pu, à maintes reprises, mesurer la puissance.
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