La loi sur l’immigration est en cours d’examen au Sénat. Elle devrait donner lieu à une bataille parlementaire sur la question de la régularisation des salariés en poste dans des secteurs en tension. En outre, comme nous l’indiquions ce matin, la loi crée un titre de séjour spécial pour les talents, et une autorisation spécifique de travail pour certains demandeurs d’asile. Les services préfectoraux verront donc leur activité devenir plus lourde… et plus complexe, alors que, comme je l’explique dans la vidéo qui suit, la qualité d’accueil dans ces services est déplorable, et les temps administratifs pour les employeurs totalement délirants. Bref, sous couvert de régler des problèmes, on les crée, comme si souvent dans notre pays.
Dans cette vidéo, j’évoque le problème concret des régularisations de sans-papiers et les problèmes de renouvellement de carte de séjour par les services préfectoraux. Tout le monde sait que la qualité d’accueil et de service y est déplorable, y compris pour les employeurs “en règle”, qui subissent régulièrement le préjudice d’erreurs administratives, de chipotages tatillons, de conditions de réception ubuesques.
Or, la loi qui s’annonce contribuera à la dégradation de cette situation :
- elle complique la réglementation en créant de nouveaux types de titres de séjour (nous en serons à plus de 10)
- les conditions d’obtention de ces titres sont suffisamment floues pour que les services soient rapidement engorgés par la difficulté de traiter les dossiers
- les temps de traitement risquent d’augmenter dans les mois à venir
En outre, le durcissement des règles sur le travail illégal fragilisera un peu plus la situation juridique des employeurs qui sont contraints de recourir aux travailleurs sans papiers pour occuper des emplois dont les Français ne veulent pas ou plus.
→ une solution intelligente consisterait à réduire drastiquement les catégories de titre de séjour à 4 ou 5, et à purger purement et simplement la situation des irréguliers qui sont en emploi depuis au moins 5 ans sans discontinuer. Il s’agirait d’une mesure de clarification qui ferait gagner du temps aux employeurs… et aux fonctionnaires, pour un résultat identique à celui qui est proposé aujourd’hui.
cela fait quelques décennies que nos politiques et leurs administrations sont incapables d’écrire une loi applicable/efficace/pertinente.
Cette folie administrative/règlementaire se voit dans tous les domaines et les (bas) fonctionnaires ne savent plus comment l’appliquer (quand ils ne craquent pas) : alors ils font comme ils veulent ou comme ils peuvent pour le malheur des gens honnêtes : des patrons, des citoyens, des contribuables, de tous les “assujettis” comme pensent les politiques.
C’est invivable tout simplement, pour toutes les personnes honnêtes (car les truands ne se gênent pas pour s’en affranchir).
On ne peut pas gagner sur tous les tableaux…
Crétiniser, avachir, pousser à la pensée binaire et à l’ignorance, neutraliser la réflexion et la vraie rationalité et ceci pour l’instrument vieux comme le monde du diviser pour mieux régner.
La nourriture des oreilles est autant importante que celle de la bouche et les deux sont perverties pour faire des aveuglés par les yeux de la petite lucarne et de ses ombres chinoises.
Entre un avachissement idiot et un prosélytisme également, sans parler de la complexité humaine et un héritage de circonstances historiques compliquées et pour cause, il est quasiment impossible pour les personnes de bonne volonté d’entreprendre dans tous les sens du terme pour la prospérité. Des malfaisants en font leur affaire politique dans un échiquier mondial et dont le sous-jacent est dissimulé en utilisant l’ignorance contre la bonne volonté entrepreunariale honnête affranchie de toutes idéologies politiques et autres.
On ne peut reprocher aux entrepreneurs d’embaucher de la main d’oeuvre étrangère si celle locale fait défaut pour une raison ou une autre indépendant de leur volonté. Mais ces mêmes sous-traitants malfaisants politico-administratifs ont fait en sorte d’une démographie défaillante en quantité et qualité et ceci pour importer et exacerber par un de leur organe un communautarisme qui va si bien à l’axiome cité plus haut et au maintient de l’escroquerie fondamentale du pouvoir et à l’instar des partis et partis pris et de toutes poudres aux yeux.
Si les gardiens de la démocratie sont des chacals et si la sémantique démocratique, le pouvoir populaire consiste en majorité d’ignorants, et un mélange de prédateurs et de moutons, il n’y aura guère que le jugement dernier pour nous faire comprendre l’erreur et la force du verbe.
Aux US, dans le monde et même dans la Chine communiste on innove, on crée, on entreprend. En France et en Europe on ne fait que pondre des lois, des règlementations, des normes qui deviennent une gadoue de colle glue et on met volontairement des poids aux chevilles des entrepreneurs locaux français dans le marathon de la mondialisation.
Et ceci sans parler du suicide énergétique par des idéologies géopolitiques et écolo-climatiques.
Alors soit les dirigeants européens et français sont d’une stupidité qui confère au surnaturel et à la métaphysique, soit ce sont juste des éléments parachutés par l’exogène de sabordage et de neutralisation économique donc politique que l’on nommera vassalisation ou laboratoire du NWO.
Qui fera sortir les peuples de leur antagonismes étriqués divers et variés, jouets de l’instigation, pour entrevoir ce qui prend forme sous leurs pieds?