Une physiothérapeute qui propose des suppléments a affirmé dans une bobine Instagram publiée le 17 janvier dernier que les vaccins Covid-19 pourraient aggraver les cas des personnes qui souffrent d’une maladie auto-immune ou d’un trouble thyroïdien. Le président de l’Association américaine de la thyroïde et directeur de la pratique d’endocrinologie et de diabète de l’hôpital de l’Université du Colorado, le Dr Michael McDermott estime qu’il faut mener de nouvelles études pour éclaircir ce sujet.
Pour faire face à une énième vague de Covid, nos gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager. Dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. Une étude de cas de 2022, publiée dans le Journal of Endocrinological Investigation, a révélé que sur 83 cas signalés de troubles thyroïdiens après la vaccination contre la COVID-19, 68 % l’étaient après une vaccination avec des vaccins à base d’ARNm.
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Comme les effets à moyen et long terme n’ont pas été étudiés lors des essais cliniques portant sur les vaccins ARN messager, on peut toujours dire que l’ont ne sait pas. Cependant, quand on voit le nombre de personnes initialement en parfaite santé qui sont atteintes de maladie invalidantes après avoir été vaccinées par un de ces vaccins, aucune hypothèse de dénégation ne peut être affirmée. La lecture du livre de Alexandra Henrion Caude sur le sujet (les apprentis sorciers), ou l’écoute les différentes vidéos de Martin Zizi, de Christian Vélot, tous spécialistes de génétique, on peut quand même se poser des questions, voire plus.
Sur le fil X de Silvano Trotta…
« Cet après-midi j’ai rencontré un médecin qui devrait être à la retraite mais qui continue de travailler car personne ne veut reprendre sont cabinet, dans une petite ville des Vosges que je ne citerai pas, pour que personne ne puisse être ennuyé.
Il n’est pas sur les réseaux sociaux, on ne se connaissait pas, il n’a que la vision des médias. Je lui posais des questions sur le pourquoi sa succession était aussi difficile et pourquoi il ne laissait pas tout tomber pour profiter enfin de sa retraite.
Là il me regarde dans les yeux et me dit “vous pensez ce que vous voulez, vous faites ce que vous voulez, mais ces vaccins anti-covid cela tue les gens et les rends malades, je ne peux pas les abandonner maintenant.”
Je m’attendais à tout sauf à cela. Je me présente à lui, lui explique ce que je fais depuis 4 ans, et là il devient inarrêtable.
Il m’explique le nombre de cas d’AVC et de crises cardiaques qui ont explosés, le nombre de cancers fulgurants jamais vu auparavant, mais aussi ces femmes, jeunes, n’ayant plus leurs règles et l’inverse, ces femmes ménopausées, qui se sont mis à en avoir de nouveau.
Je lui demande alors ce qu’il a fait pour dénoncer cela. Il me dit qu’il a été voir les autres médecins et les pharmaciens de la petite ville (ils se connaissent bien évidemment tous), pour leur dire “on fait quoi là ? C’est un massacre!”.
Ils savent tous, m’a-t-il dit, ils savent tous que ces vaccins sont un poison, mais ils ont peur. Ils savent que s’ils dénoncent ces vaccins, ils ne pourront plus exercer.
Alors ils font tout maintenant pour dissuader les gens de se vacciner, et cherchent les meilleurs solutions pour les soigner. Les gens savent m’a-t-il dit, mais ils sont résignés aussi.
Ensuite il a pleuré.
Je peux vous dire que le retour a été difficile pour moi. »
Nous ne sommes qu’au début de la longue liste des effets secondaires des injections ARNm anti Covid ! Le pire étant la maladie de Kreutzfeld Jakob qui se présente comme une rapide destruction cérébrale. Car l’ARN modifié peut synthétiser des protéines inconnues et dangereuses équivalentes aux Prions responsable de la maladie de la vache folle. En fait ce soit disant vaccin n’aurait jamais dû recevoir d’autorisation de mise sur le marché de la part de l’ANSM.
Et voyez également l’explosion des fausses couches à répétition et donc la baisse de natalité, que le gouvernement va chercher à cacher un rendant obligatoire des tests d’infertilité pour donner une explication générale qui va cacher celle des effets des vaccins. De fait l’infertilité liée au recul de l’âge de procréation existe bien (surtout chez les cadres), celle liée aux perturbateurs endocriniens aussi, mais il y a une baisse due aux vaccins ARNMessager. C’est pourquoi il faudrait continuer à parler du Covid, ne pas laisser tomber le procès à faire contre ces crapules dont l’impunité les pousse à continuer leur action totalitaire