Assez curieusement, on entend peu parler du dernier conseil européen, tenu jeudi et vendredi à Bruxelles, où les Etats-membres de l’Union évoqué la question de l’Ukraine et de la défense européenne. Ils ont aussi parlé de Gaza. Mais… silence radio. Dans les faits, les Européens ne sont guère parvenus à mettre de l’argent frais sous les déclarations ronflantes en faveur de Zelinsky. Et ils confirment leur renoncement aux traditions libérales en affirmant vouloir utiliser les avoirs russes gelés pour financer la reconstruction en Ukraine. Entre autres…
Comme on le voit, le Conseil européen n’a guère marqué d’évolution majeure dans les positions de l’Union européenne.
- sur l’Ukraine, la réunion a surtout permis a renvoyé au conseil des ministres de la Défense le soin d’apporter une nouvelle aide financière à un Zleensky aux abois. Ce délai accordé montre bien la difficulté aujourd’hui (savamment passée sous silence) de faire l’unanimité du Conseil sur un soutien de plus en plus coûteux à une Ukraine aux abois
- le Conseil a validé l’idée d'”affecter au profit de l’Ukraine les recettes exceptionnelles provenant d’avoirs russes immobilisés, y compris la possibilité d’un financement du soutien militaire.” Cette utilisation des taux d’intérêt produits par les avoirs russes pourrait s’avérer désastreuse à long terme, pour nos banques
- en matière de défense, le Conseil s’est surtout contenté d’incantations, tout en rappelant que l’OTAN demeurait le centre de gravité de notre dispositif militaire…
- concernant Gaza, l’Union a appelé à un cessez-le-feu immédiat
Bref, en dehors de Macron, personne ne se bouge plus vraiment pour faire avancer la machine européenne.
Autre question: Macron est-il le seul chef d’Etat européen qui parvient encore à imposer à sa population l’idée de défendre l’Ukraine?
… En n’oubliant pas d’indiquer que l’Ukraine ne fait pas partie de l’Union Européenne ni de l’Otan. Dans ce contexte quel est le lien objectif qui nous lie tant à l’Ukraine pour devoir accepter de financer sa guerre contre la Russie ?
L’idéal serait de destituer le président pour raison de santé mentale, un expert psychiatre aurait déjà beaucoup d’éléments pour rédiger son rapport circonstancié. Sinon il faut procéder comme l’ambassade d’Ukraine au Tadjikistan, poster une petite annonce sur un site internet pour recruter un misérable qui acceptera, moyennant dix mille euros, de trouver une solution radicale qui permette d’avancer rapidement les élections présidentielles. Bien entendu les médias accuseraient comme d’habitude la Russie. L’existence de notre pays en dépend.
En soutenant l’Ukraine, cette bande de ****** mettent la vie des Français en danger avec le terrorisme.
Un petit attentat au bon moment serait bon pour les affaires du guignol de l’Elysée afin de faire remonter son image dans le pays et dans le monde.