Vous entendez parler matin, midi et soir de « développement durable », de « changement climatique » ou encore d’« effondrement de la biodiversité » : c’est qu’un peuple qui est en permanence maintenu dans la peur, celle – selon les experts – du réchauffement ou de la glaciation, est beaucoup plus docile, qui plus est dans un contexte incertain, où les menaces viennent de partout en même temps : dégradation des comptes publics de la France, défaite militaire de l’Ukraine en vue, le tout succédant à plus de deux ans d’« états d’urgence sanitaire » successifs. Ce qui nous motive toutefois à traiter la thématique de la « RSE », c’est-à-dire de la Responsabilité Sociétale des Entreprises, c’est que les institutions qui nous gouvernent, de la Commission européenne à la société de gestion d’actifs BlackRock (qui détiendrait quelque 2% de notre dette publique), en font un de leurs chevaux de bataille.
Si nous aborderons la question de la sincérité de leur combat, le fait est qu’investir sans se préoccuper du tout des fameux labels (ou critères) « ESG » (pour « Environnement Société Gouvernance »), fût-ce pour les écarter, est devenu une posture compliquée. Nous attaquons donc de front ce sujet.
Aussi, vous présenterons-nous dans ce 42ème dossier :
- Ce qu’il faut entendre par « RSE » et « ESG » en 2024 ;
- Le durcissement continu de l’encadrement réglementaire des entreprises ;
- Un bilan des labels qui existent pour y voir clair ;
- Quelques pistes d’investissement et opportunités.
On a particulièrement vu, avec la crise dite « sanitaire », comment les entreprises, surtout les grandes, sont devenues de véritables relais de propagande.
Reste qu’une entreprise qui n’a pas comme objectif central la satisfaction de ses clients, peut avoir des surprises désagréables. Le mur de la réalité…