Une enquête, menée lors des premières vagues de la pandémie a porté sur un échantillon de femmes enceintes inscrites au Vaccine Safety Datalink du CDC des États-Unis. Les résultats ont révélé que si 76 % des femmes ont reçu au moins une dose de vaccin contre la COVID-19. Cette enquête menée par le réseau JAMA OPEN aux États-Unis a également révélé que par la suite, en raison de la baisse de la protection du vaccin et des éventuels effets secondaires, leur confiance à l’égard des vaccins a beaucoup diminué. En effet, depuis la vaccination de masse, de plus en plus d’individus ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires graves suite à l’administration de ces vaccins à ARNm pour la plupart.
En début de la crise covid, selon les autorités sanitaires des pays occidentaux, il n’y avait aucune contre-indication à faire vacciner les femmes enceintes. Elles étaient considérées comme vulnérables à l’infection, et faisaient partie des personnes prioritaires pour la vaccination. Selon une récente enquête publiée par JAMA OPEN, lors des premières vagues de l’épidémie de coronavirus SARS-CoV-2, 76 % des femmes enceintes ont reçu le vaccin COVID-19. Pour autant, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) américains n’ont jamais pris le soin d’expliquer en détail ni même d’argumenter le “bénéfice-risque” du vaccin pour les femmes enceintes. Bien que les effets secondaires de la vaccination Covid soient particulièrement à risque, les autorités sanitaires américaines ont continué leur politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité. Des études antérieures ont en effet, confirmé la dangerosité des vaccins Covid pour les femmes enceintes.
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